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Actualité de l'Espace éthique

Événements de l'Espace éthique d'avril 2015

Cas cliniques et maladie d'Alzheimer

Publié le : 14 Avril 2015

Certains événements de l'Espace éthique/IDF sont ouverts, sur inscription, au grand public.
Pour le mois d'avril 2015 les événements suivants sont ouverts. Ils sont organisés à l'Espace éthique/IDF, Hôpital Saint-Louis, Porte 9, 1 rue Claude Vellefaux, 75010 Paris

Événements

Éthique, alzheimer et maladies apparentées

Lundi 13 avril
9H-18H

La maladie d'Alzheimer au prisme de la philosophie morale. De la pratique à la théorie

Fabrice Gzil
Philosophe, Responsable du pôle initiatives locales, Fondation Médéric Alzheimer
Les significations et représentations de la maladie d’Alzheimer situent d’emblée les personnes qui y sont confrontées dans un champ d’interrogations complexes où culminent les questions d’ordre notamment philosophique ou éthique. L’approche en terme de philosophie morale favorise une compréhension de concepts comme la dignité, l’autonomie, l’identité d’où procède la spécificité d’engagements soucieux de la personne reconnue en ce qu’elle est, dans ses valeurs et ses droits malgré les entraves d’une maladie qui peut la spolier de ce qui la constitue.

 

Cas cliniques n° 4 :

Mardi 14 avril
18H30-20H

Jean-Louis Misset
Professeur d’oncologie, université Paris 7, EA 1610 « Études sur les sciences et les techniques », université Paris Sud
Ces rencontres entre professionnels réunis autour de cas cliniques, permettront de mieux appréhender l’approche d’une argumentation éthique solidement étayée par une méthodologie : elle allie la diversité des savoirs et des compétences. À partir d’une situation significative, les échanges favorisent un travail d’approfondissement permettant de mieux identifier, cerner et hiérarchiser les termes d’un arbitrage indispensables une prise de décision fondée et recevable.

Traitement symptomatique, sédation, euthanasie. Où situer les frontières ?
Un homme de 80 ans vit depuis 13 ans avec un cancer du rein non guéri mais d’évolution lente et qui a été amélioré, ou au moins maintenu, par de nombreux traitements pluridisciplinaires.
Il se dégrade rapidement, souffre et demande à être hospitalisé et soulagé fût-ce en agissant sur sa vigilance si nécessaire.
Le traitement mis en route (qui atteindra son objectif de soulagement) ne sera pas perçu de la même manière par le patient, ses enfants, le médecin des soins palliatifs et le cancérologue référent.