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  • Le consentement à l’épreuve de la vaccination contre la COVID-19

    "En l’état actuel du droit français, la vaccination contre la COVID-19 ne peut pas être imposée. Elle nécessite donc une information objective et loyale de tous les individus, y compris des médecins prescripteurs. Toutes les personnes doivent pouvoir exprimer leur volonté d’être ou non vaccinées et respectées dans leur choix, y compris si elles présentent des troubles intellectuels."

    Publié le : 18/12/2020 | Auteur : Olivier Drunat , Médecin gériatre, chef de service de neuro-psychogériatrie, Hôpital Bretonneau HUPNVS, AP-HP / Nathalie Peterka , Professeur de droit privé à l'Université Paris-Est Créteil (UPEC, Paris12) / Mouna Romdhani , 2- Gériatre, Service de Neuro-Psycho-Gériatrie, Hôpital Bretonneau, GHU Paris Nord, Université de Paris / Anne Caron Déglise , Magistrat, Avocat général à la Cour de cassation

  • EHPAD ou Ehpad ? Quelques réflexions lexicales...

    "Il faut se méfier des sens cachés sous des mots trop facilement prononçables : chaque lettre de nos Ehpad, égrenée une par une, continue à désigner chacune une chose lourde, utile et dangereuse."

    Publié le : 11/05/2020 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Médecine et droits de l’homme - Pratiques soignantes et recherche biomédicale

    Recueil des textes fondamentaux, 1948-2008

    Publié le : 12/11/2018

  • Et si l’hôpital devenait une usine biomédicale ?

    Pour améliorer les performances de l’hôpital, optimiser le fonctionnement des équipes et augmenter la satisfaction des patients, les décideurs politiques s’orientent toujours davantage vers un hôpital-entreprise converti aux méthodes du « lean management ». Pourtant, avec la tarification à l’activité et la bureaucratisation des soins, l’hôpital semble plutôt se transformer en usine tayloriste. Dans ces conditions, un système de santé purement biomédical et techniciste est-il viable ? Cette question était au coeur du dialogue qui s'est tenu, le 13 février 2017, entre Alexia Jolivet, responsable de l’Observatoire de l’Espace éthique Île-de-France et maître de conférence en Sciences de l’Information et de la Communication, et Frédéric Pierru, sociologue spécialiste des politiques publiques de santé au CNRS et membre de la Chaire de santé publique de Sciences Po Paris.

    Publié le : 01/03/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Les jours des médecins sont-ils comptés ?

    Si François Fillon veut supprimer 500 000 fonctionnaires, pourquoi ne commencerait-il pas par les médecins ? La suggestion n'est complètement farfelue, à l'heure où une télécabine vient d’être installée dans une pharmacie mutualiste du Roannais, qui prend la tension, le pouls, mesure le taux d’oxygène dans le sang, et transmet ces informations au médecin généraliste. Ces solutions ont le vent en poupe : la société H4D, qui a conçu la télécabine, vient de lever 6,7 millions d'euros. Si cette cabine apporte une réponse au manque de médecins dans les déserts médicaux, elle n’a pas (encore) vocation à remplacer les soignants. C’est pourtant le débat qui a été soulevé le 5 décembre 2016 entre le philosophe des sciences Léo Coutellec et Jean-Christophe Weber, médecin et philosophe spécialiste de l’éthique médicale, à l’occasion de la troisième séance du séminaire de l’Espace éthique Île-de-France « Anticiper le futur de la santé, un enjeu éthique ».

    Publié le : 19/12/2016 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Médecine : les relations humaines vont-elles devenir une option payante ?

    « Le temps c’est de l’argent » : cette maxime déjà bien connue dans l’économie de services — pensez au regard exaspéré des serveurs dans certains restaurants si vous n’avez pas le bon goût de commander rapidement ! — est resté un tabou absolu quand on parle des métiers du soin et de la médecine. Pourtant, la standardisation du soin, sa spécialisation qui transforme les soignants en techniciens, et l’individualisme croissant des patients peuvent faire imaginer un soin dans lequel la relation humaine serait devenue une simple perte de temps. Mais pouvons-nous vraiment penser un malade sans entourage et une médecine sans relations ? C’est le débat qui a été soulevé le 14 novembre 2016 entre le sociologue Sebastian J. Moser et le philosophe Philippe Barrier à l’occasion de la deuxième séance du séminaire de l’Espace éthique Île-de-France « Anticiper le futur de la santé, un enjeu éthique ».

    Publié le : 23/11/2016 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Autonomie et protection : une opposition à dépasser

    Intervention du 10 mai 2016 dans le cadre du réseau "Situations de handicap"

    Publié le : 08/11/2016 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Respect de la personne handicapée : Comment anticiper les besoins ?

    Intervention donnée dans le cadre des rencontres de l’URIOPSS, 2016.

    Publié le : 27/09/2016 | Auteur : Sebastian J. Moser , Chercheur en sociologie, Laboratoire d'Excellence DISTALZ, Espace éthique/IDF

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Encadrer l’engagement : des limites subies aux limites réfléchies

    S’inspirant de son expérience comme infirmière à domicile, Catherine de Brabois pose simultanément la question de savoir jusqu’où l’engagement peut aller et jusqu’où il doit aller. Dans un contexte socioéconomique qui ne légitime plus que les activités tarifables et valorise surtout l’autonomie du patient, comment donner la possibilité au soignant de s’investir dans son activité de soin par-delà le simple geste dicté par le protocole ?

    Publié le : 01/03/2016 | Auteur : Catherine de Brabois , Directrice de SSIAD, Paris, doctorante, Espace éthique/IDF, université Paris Sud

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