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  • Droits de l'homme : l'exigence de valeurs communes

    Ce texte inédit est publié en hommage à Jonathan Mann et à Mary Lou Clements-Mann est tiré d'entretiens avec Emmanuel Hirsch. In Droits de l'homme et pratiques soignante, textes de référence 1948-2001, 2è edition augmentée, AP-HP/Doin 2001

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Jonathan Mann , Professeur de Santé publique et Droits de l'homme, École de santé publique, Université de Harvard, États-Unis

  • Fin de vie : mobiliser l’éthique

    Publié le : 20/11/2009 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Mort choisie pour tous avec l’aide de la loi : droit essentiel ou fantasme dangereux ?

    Publié le : 10/02/2011 | Auteur : Laurent Beaugerie , Gastro-entérologue, Praticien Hospitalier à l’AP-HP, Professeur des Universités à Paris 6, membre du Conseil National des Universités et vice-président de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

  • Alzheimer : reconnaître l’humanité d’une fin de vie

    Publié le : 06/11/2009 | Auteur : Vanessa Masset , Psychologue clinicienne, EHPAD, membre du Groupe de réflexion« Éthique et Sociétés - Vieillesse et vulnérabilités

  • Approche transculturelle de l'éthique biomédicale

    Il existe, d'emblée, un déséquilibre entre le soignant détenteur du pouvoir biomédical, et le soigné amoindri par sa maladie. L'appartenance du patient à une culture différente de celle de son soignant est de nature à apporter une distorsion supplémentaire à leur relation, voire à majorer le déséquilibre de puissance entre les deux parties.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Ali Chadly , Chef de service de médecine légale, droit et éthique de la médecine, hôpital universitaire de Fattouma Bourguiba, Monastir, Tunisie

  • Déclaration sur les droits du patient

    La relation médecin-patient-société a ces derniers temps connu des changements importants. Si le médecin doit continuer à agir selon sa conscience et dans le meilleur intérêt du patient, il devra également faire son possible pour garantir autonomie et justice au patient. La déclaration suivante présente quelques-uns des droits de principes du patient que la profession médicale approuve et soutient.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Association médicale mondiale

  • Conduites éthiques dans la décision en hépato-gastro-entérologie

    Le patient d'aujourd'hui, mieux informé parce que souvent plus instruit que par le passé, et qui reste de plus en plus tard autonome et ambulatoire dans sa maladie, a-t-il la faculté de prendre seul la décision qui le concerne en hépato-gastro-entérologie ? Quelles questions le passage du paternalisme médical à l'autonomisme pose à cette spécialité ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Laurent Beaugerie , Gastro-entérologue, Praticien Hospitalier à l’AP-HP, Professeur des Universités à Paris 6, membre du Conseil National des Universités et vice-président de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

  • Prévoir, compenser, retarder

    L'auteur de ce texte, écrit en 2000, dresse un panorama des connaissances et espoirs autour de la maladie d'Alzheimer, de sa connaissance et de son traitement.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Françoise Forette , Chef de service, hôpital Broca, AP-HP

  • Liés par les mêmes valeurs, le même respect de l'humain

    Témoignage d'un cadre infirmier sur l'aspect unique de la relation de "soins" et d'accompagnement en chambres mortuaires.

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Mireille Noury , Cadre infirmier, chambre mortuaire, groupe hospitalier Necker-Enfants malades, AP-HP, membre du groupe de recherche et de réflexion « Accompagnement du deuil périnatal », Espace éthique / AP-HP

  • La démence, cause d'exclusion sociale

    "Le malade est déqualifié, il n'est plus possible de l'entendre : en train de sortir de son propre esprit, ou déjà hors de lui, le malade n'a plus droit à la parole, avant même que celle-ci ne lui manque vraiment. Il n'a plus le droit de décider ni de choisir et, que ce soit avec bienveillance (" pour son bien ") ou malveillance, il est, au mieux traité en petit enfant, au pire comme une chose, voire comme un coupable incarcéré."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

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