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  • Les proches, inconditionnelle présence en toutes circonstances

    "Qui réunit les différentes données financières, patrimoine, revenus, et le certificat du médecin agréé, exigés afin d'obtenir pour son proche malade victime de plusieurs escroqueries, la protection de la justice ? Quel est l'engagement de la société pour permettre, en l'absence d'une famille très présente, à toutes les personnes malades, de bénéficier de cet accompagnement de "bonnes pratiques" ? "

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • « Tout va bien… je suis là… »

    "Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la surmortalité (+63 %) des conjoints de malades, les 50 % de dépressions avérées des soignants familiaux, les 50 à 60 heures de travail par semaine exclusivement consacrées au malade à domicile. Ce ne sont que des chiffres… Pour moi ce sont des visages."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Jusqu’au terme de la vie: le devoir de confiance

    "Nous avons besoin avant tout d’avoir confiance : confiance dans la formation, la compétence, la déontologie et l’éthique des professionnels soignants. Savoir que nous n’avons rien à craindre, ni dans l’excès ni dans l’abandon."

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Choisir et décider ensemble

    Dans la vie quotidienne de l’aidant familial, les limitations et incapacités de la personne atteinte par Alzheimer à exercer un choix adapté, rendent la vie épuisante : l’époux doit-il sortir chaque nuit à 2 h du matin lorsque sa femme malade décide qu’il faut aller faire les courses, ou la contraindre plus ou moins patiemment à retourner se coucher ? La fille, voyant la santé de sa maman se dégrader, peut-elle la laisser sans soins et annuler le rendez-vous pris pour elle chez le spécialiste ? Doit-elle trouver un subterfuge pour réussir à mieux prendre soin d'elle qui se voit normale et sans problème de santé ?

    Publié le : 11/10/2011 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93