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  • La violence institutionnelle en gériatrie : engrenage inévitable ou nécessaire prise de conscience ?

    L’autre, le malade, l’objet de nos soins est sujet lui aussi, tout comme nous, il entre en action de relation, face à nous. Nous avons souvent choisi ce métier pour ce face-à-face idéal. Pourtant il suffit de passer de l’autre coté du miroir, d’être malade pour éprouver que ce face-à-face n’est pas égalité, qu’il est en fait un jeu de pouvoir.

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Monique Saffy , Cadre supérieur infirmier, la Collégiale, ancienne coordonnatrice du Groupe Miramion Violences en institution

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • Notre vie est un château de cartes - Ma personne de confiance

    "Notre vie est un château de cartes que le souffle du vent balaye en un instant, faisant s‘envoler l’armure qui nous protège. La perte de confiance est totale, avec ce sentiment mortifère de n’être plus rien. Tombée malade le 17 décembre 2004, j’ai connu le temps où tout s’arrête et où la vie bascule."

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Valérie Chmielewski , Ingénieur de recherche et de formation au CNAM