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  • Autour du programme 13-Novembre (2/2)

    Le 6 décembre 2016, le Prix Pierre Simon, Éthique et société a été remis au programme 13-Novembre, dont l’objectif est d’étudier la construction et l’évolution de la mémoire après les attentats du 13 novembre 2015, tout en pensant l’articulation entre mémoire individuelle et mémoire collective.

    Publié le : 02/02/2017 | Auteur : Denis Peschanski , Historien

  • Rencontre avec l'unité de soins palliatifs de l'hôpital Paul Brousse

    Cette rencontre avec le service de soins palliatifs de l'hôpital Paul Brousse a été organisée en partenariat avec l'Espace éthique/AP-HP, le 10 décembre 2012, Journée mondiale des Droits de l'Homme.

    Publié le : 05/08/2013 | Auteur : Espace éthique/IDF / Sylvain Pourchet , Médecin (Paris), ancien responsable de l’unité de soins palliatifs de l’hôpital Paul Brousse (AP-HP) et du Diplôme Universitaire d’accompagnement et soins palliatifs de l’université Paris Sud

  • Les médecins contre un droit à la mort

    Publié le : 06/11/2009 | Auteur : Louis Puybasset , Professeur de médecine, Neuro-réanimation Chirurgicale Babinski, Département d'Anesthésie-Réanimation, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, université Pierre et Marie Curie, Paris 6

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • L'euthanasie, une fausse solution

    "Il s'agit d'un abus de langage que de faire passer pour un acte de volonté individuelle une décision qui instrumentalise un tiers, en l'occurrence le médecin. De même, il est paradoxal de dénier à la société un droit de regard sur la fin de vie - "c'est ma mort, elle ne concerne que moi ; moi seul doit décider" - quand à travers l'intervention du médecin, c'est la société tout entière qui est convoquée au chevet du malade."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Marianne Gomez , Journaliste à La Croix, rubrique famille, éthique, société

  • Expérience réunie en tant que médecin officiel et membre de la Commission nationale suisse d’éthique

    Un médecin suisse aborde sur la législation helvétique sur le suicide assisté et l'euthanasie ainsi que les problématiques juridiques, éthiques et morales qui émergent de ces situations.

    Publié le : 14/03/2012 | Auteur : Jean Martin , Médecin de santé publique, membre de la Commission nationale suisse d’éthique et du Comité international de bioéthique de l’UNESCO

  • Des soignants extrémistes de l'extrême

    "Soigner un patient en état végétatif persistant, signifie forcément se questionner sur des concepts existentiels qui prennent alors toute leur réelle dimension. D'où la nécessité d'une réflexion partagée au sein de l'équipe et de l'organisation d'un espace de parole. La réflexion se doit d'être insufflée par le cadre infirmier et le médecin responsable de l'unité de soins. Elle repose sur des valeurs partagées par les membres d'une équipe pluridisciplinaire."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Christine Guénin , Cadre supérieur infirmier, hôpital Maritime Berck, AP-HP

  • Fin de vie, l’engagement du soin

    "Comment respecter l’autonomie de l'autre quand un certain nombre de facteurs accentuent sa dépendance ? La liberté agit-elle encore dans une conscience intense de la mort prochaine ou de la mort désirée ? Qu’en est-il de l'indépendance ainsi visée, de la notion de choix dans une revendication de la mort ?"

    Publié le : 14/11/2007 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • La valeur de l’humain

    "Rien n'est plus fragile et ne doit être plus préservée que la vie d'une personne qui ne peut être compensée par aucun bien matériel ou aucune richesse. Pourtant, lorsque seule la vie biologique persiste et que cette survie n'est obtenue que grâce au maintien artificiel des fonctions vitales, l'action médicale est-elle raisonnable ?"

    Publié le : 12/06/2009 | Auteur : Jean Léonetti , Médecin cardiologue, Député