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  • États généraux : Réinventer la bioéthique, un enjeu politique

    "Ces prochains mois d’états généraux représentent un enjeu, un défi et un risque dont il nous faut mesurer la portée. Faute d’une mobilisation politique qui concerne chacun d’entre nous, notre démocratie pourrait vivre difficilement l’échec de cette concertation."

    Publié le : 18/01/2018 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • États généraux de la bioéthique : ce qui motive notre engagement

    "Il ne convient pas pour autant de dissimuler la difficulté de l’exercice transitoire de concertation publique qui nous est confié. Car il est des compétences pour estimer que ces domaines sont trop sérieux et complexes pour être discutés et arbitrés par des personnes non spécialisées. Au mieux, il leur est concédé les quelques moments de « cafés éthiques » et la participation à quelques événements au gré des circonstances. Méfions-nous qu’il n’en soit pas ainsi au cours de ces prochains mois."

    Publié le : 20/02/2018 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Rapport sur l’application de la loi de bioéthique

    Rapport de l'Agence de la biomédecine paru en janvier 2018

    Publié le : 20/02/2018 | Auteur : Agence de la biomédecine

  • Pour une éthique appuyée sur une vision « holistique » des sciences et technologies.

    La fulgurance de ce qui se produit globalement dans les technosciences procède d’une systémique complexe qu’il est urgent d’éclairer d’un point de vue holistique, reliant les différents domaines. C’est ce que Pierre Giorgini s'applique a montrer dans son dernier ouvrage « La tentation d’Eugénie » aux éditions Bayard.

    Publié le : 14/04/2018 | Auteur : Pierre Giorgini , Ingénieur, spécialiste des télécommunications, Président-Recteur de l’université catholique de Lille

  • Défense contemporaine d’une sagesse de l’idiot en bioéthique

    "Penser la bioéthique maintenant, c’est parvenir à le faire face à des gens, des spécialistes justement, dont le champ, la profession, le mode de vie sont les piliers de l’évolution de la bioéthique : la médecine, la recherche biologique, la philosophie, le militantisme, la politique."

    Publié le : 10/04/2018 | Auteur : Jean Lacau Saint Guily , Professeur d’ORL et de chirurgie cervico-Faciale, cancérologue, Hôpital Tenon et Sorbonne Université

  • Vers une pratique médicale 100% à la carte ?

    Naturopathie, phytothérapie, acupuncture, hypnose, ostéopathie, homéopathie… Les médecines non-conventionnelles sont de plus en plus utilisées dans les soins, comme pratiques préventives ou curatives. Au-delà de leur reconnaissance et de leur encadrement, pourrions-nous imaginer une pratique médicale entièrement à la carte ? Cette question était au cœur du dialogue qui s'est tenu, le 15 mars, entre Alexia Jolivet, responsable de l’Observatoire de l’Espace éthique Île-de-France et maître de conférence en Sciences de l’Information et de la Communication, et Albert Ogien, directeur de recherches au CNRS et directeur de l’Institut Marcel Mauss de l’EHESS.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Neurosciences : le "tournant neuro" en question

    Dans la cadre de la révision de la loi relative à la bioéthique, qui aura lieu en 2018 et 2019, l'Espace éthique/IDF propose une série de textes, réflexions et expertises pour animer le débat public. Chaque intervention visera à éclairer un point, une perspective ou un enjeu des révisions de la loi. Ce troisième texte aborde les enjeux éthiques et politiques des neurosciences.

    Publié le : 17/01/2018 | Auteur : Brigitte Chamak , Sociologue, ingénieure de recherche Inserm

  • Les jours des médecins sont-ils comptés ?

    Si François Fillon veut supprimer 500 000 fonctionnaires, pourquoi ne commencerait-il pas par les médecins ? La suggestion n'est complètement farfelue, à l'heure où une télécabine vient d’être installée dans une pharmacie mutualiste du Roannais, qui prend la tension, le pouls, mesure le taux d’oxygène dans le sang, et transmet ces informations au médecin généraliste. Ces solutions ont le vent en poupe : la société H4D, qui a conçu la télécabine, vient de lever 6,7 millions d'euros. Si cette cabine apporte une réponse au manque de médecins dans les déserts médicaux, elle n’a pas (encore) vocation à remplacer les soignants. C’est pourtant le débat qui a été soulevé le 5 décembre 2016 entre le philosophe des sciences Léo Coutellec et Jean-Christophe Weber, médecin et philosophe spécialiste de l’éthique médicale, à l’occasion de la troisième séance du séminaire de l’Espace éthique Île-de-France « Anticiper le futur de la santé, un enjeu éthique ».

    Publié le : 19/12/2016 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Le code de Nuremberg, l’irruption de la conscience bioéthique

    Publié dans Le Monde, 20-21 août 2017

    Publié le : 21/08/2017 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Médecine : les relations humaines vont-elles devenir une option payante ?

    « Le temps c’est de l’argent » : cette maxime déjà bien connue dans l’économie de services — pensez au regard exaspéré des serveurs dans certains restaurants si vous n’avez pas le bon goût de commander rapidement ! — est resté un tabou absolu quand on parle des métiers du soin et de la médecine. Pourtant, la standardisation du soin, sa spécialisation qui transforme les soignants en techniciens, et l’individualisme croissant des patients peuvent faire imaginer un soin dans lequel la relation humaine serait devenue une simple perte de temps. Mais pouvons-nous vraiment penser un malade sans entourage et une médecine sans relations ? C’est le débat qui a été soulevé le 14 novembre 2016 entre le sociologue Sebastian J. Moser et le philosophe Philippe Barrier à l’occasion de la deuxième séance du séminaire de l’Espace éthique Île-de-France « Anticiper le futur de la santé, un enjeu éthique ».

    Publié le : 23/11/2016 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

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