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  • Maladie d'Alzheimer, créer un environnement de confiance

    "Quand la maladie met à l’épreuve la confiance en ses multiples points de fixation (confiance en soi, en son corps, en autrui, en la médecine, en la science…) comment faire vivre concrètement cette confiance, l’espérance, la foi et l’espoir tant pour la personne elle-même, que pour ses proches et pour les professionnels qui l’accompagnent dans un environnement de proximité ?"

    Publié le : 18/09/2015 | Auteur : Anne Caron Déglise , Magistrat, Avocat général à la Cour de cassation

  • Alzheimer : entre protection de la personne et respect de sa liberté

    "Doit-on protéger au risque d’entraver ? Doit-on laisser sans soins celui qui du fait d’une démence ou d’un trouble psychiatrique s’y oppose ? Doit-on laisser libre d’errer celui qui déambule ou le maintenir en contention ? Peut-on et doit-on consentir pour autrui quand celui-ci n’est plus capable de discernement?"

    Publié le : 28/09/2015 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Faut-il transformer les unités de soins en « dormoirs » ?

    La proposition de loi Claeys-Leonetti, en proposant « une sédation profonde et continue (…) jusqu’au décès associée à une analgésie et à l’arrêt de l’ensemble des traitements de maintien en vie » à « la demande du patient d’éviter toute souffrance et de ne pas prolonger inutilement sa vie » crée un droit-créance. En cela, elle reflète parfaitement la postmodernité occidentale, avec sa tendance à réifier la personne et à utiliser chacun « comme un moyen et non toujours comme une fin ».

    Publié le : 02/03/2015 | Auteur : Clémence Joly , Médecin, responsable de l’unité de soins palliatifs, Centre hospitalier de Pont Audemer (Eure)

  • Valeurs du soin et fin de vie : mise en danger et compétence soignante

    "Se battre ne va pas de gaité de cœur, mais il y a des ”guerres justes”. Autrefois, il y a bien longtemps le soignant et le médecin étaient comme désignés par leur vocation. « Il a la vocation », pouvait faire office de diplôme. De nos jours, le dévouement, la relation d’aide doivent nous suffire et convenir au patient. « On est là pour ça ? » Exprime-t-on l’acquiescement ou la résignation ? Le ”ça” interroge-t-il encore assez la raison ”d’être soignant” ?"

    Publié le : 11/03/2015 | Auteur : Nicole Pélicier , Psychiatre, Hôpital européen Georges Pompidou, AP-HP

  • Contribution à la consultation citoyenne : Proposition de loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie Jean Leonetti

    Contribution du groupe de réflexion ‘’Décisions et responsabilités en situations de fin de vie’’, Espace éthique de la région Ile-de-France

    Publié le : 16/02/2015 | Auteur : Groupe de réflexion ‘’Décisions et responsabilités en situations de fin de vie’’

  • L’anticipation de la volonté, un défi juridique

    "Diverses raisons expliquent le peu de succès rencontré par les mesures d'anticipation, parmi lesquelles on relève la difficulté d’anticiper le moment que l’on redoute, la crainte de figer certaines des circonstances d’une situation future dont on tant l’échéance que le contexte, ainsi que la méconnaissance des textes."

    Publié le : 04/06/2015 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Le prélèvement Maastricht III en question

    "Les prélèvements dits « Maastricht III », parce qu’ils interviennent dans la majorité des cas à la suite d’une décision médicale d’arrêt de traitement, posent des questions d’ordre éthique particulièrement délicates. De fait, on ne peut, en cette matière, réaliser l’économie de la question d’un éventuel conflit entre l’intérêt de la personne mourante, gravement malade ou cérébrolésée et l’intérêt d’autrui, à savoir l’éventuel receveur."

    Publié le : 01/04/2015 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Que comprendre de l’acquittement de Nicolas Bonnemaison ?

    "Si la place de Nicolas Bonnemaison n’est pas parmi les criminels de droit commun est-elle pour autant auprès de personnes forcées de s’en remettre à la médecine à l’extrême fin de leur vie ? Est-elle sous les applaudissements qui ont suivi l’annonce du verdict ?"

    Publié le : 27/06/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Le droit ne définit pas l’éthique, il définit la loi

    "Parce que cette nécessité est apparue au cours de la réflexion bioéthique, on parle aujourd’hui du droit de la bioéthique. Or ce dernier n’existe pas. Le droit ne définit pas l’éthique, il définit la loi."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Information des patients exposés à des infections en milieu hospitalier

    Dossier thématique suite à la réunion du groupe de travail

    Publié le : 09/01/1997 | Auteur : Groupe Miramion / Espace éthique/IDF

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