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  • Quelques considérations sur la notion de qualité de vie

    La qualité de vie représente une notion très vague et en même temps individuelle faisant référence aux valeurs culturelles, religieuses, sociales, familiales, en d’autres termes à toutes les composantes d’un individu. Mon propos n’est pas d’essayer de la définir mais de m’intéresser concrètement à la qualité de la vie des patients hospitalisés, c’est-à-dire de réfléchir à des situations paradoxales du point de vue des patients et du point de vue des soignants.

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Marie-Agnès Desbordes , Cadre supérieur infirmier, hôpital Raymond Poincaré, Groupe de réflexion éthique Raymond Poincaré

  • La violence institutionnelle en gériatrie : engrenage inévitable ou nécessaire prise de conscience ?

    L’autre, le malade, l’objet de nos soins est sujet lui aussi, tout comme nous, il entre en action de relation, face à nous. Nous avons souvent choisi ce métier pour ce face-à-face idéal. Pourtant il suffit de passer de l’autre coté du miroir, d’être malade pour éprouver que ce face-à-face n’est pas égalité, qu’il est en fait un jeu de pouvoir.

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Monique Saffy , Cadre supérieur infirmier, la Collégiale, ancienne coordonnatrice du Groupe Miramion Violences en institution

  • La volonté de se soigner

    Si la personne entrant dans la maladie devient "double" (personne passée et personne dont le devenir est troublé par la maladie), se pose alors la question de la décision et du "courage de se soigner". L'auteur pose la question de la volonté de guérir, du manque occasionnel de cette volonté (quelles en sont les causes ?) et de la question, métaphorique, de la réunification de la personne double.

    Publié le : 13/01/2009 | Auteur : Gérard Reach , Professeur de médecine, endocrinologue, Hôpital Avicenne, AP-HP

  • Notre vie est un château de cartes - Ma personne de confiance

    "Notre vie est un château de cartes que le souffle du vent balaye en un instant, faisant s‘envoler l’armure qui nous protège. La perte de confiance est totale, avec ce sentiment mortifère de n’être plus rien. Tombée malade le 17 décembre 2004, j’ai connu le temps où tout s’arrête et où la vie bascule."

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Valérie Chmielewski , Ingénieur de recherche et de formation au CNAM