Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 11 à 20 sur un total de 77.
  • Une approche digne des personnes âgées accueillies en institution

    "La “démocratie sanitaire” est incarnée de manière souvent insoupçonnée par ceux qui résistent au nom d’une conception de la dignité qu’on ne saurait contester aux personnes affectées par une maladie souvent assimilée à une forme d’indignité !"

    Publié le : 27/01/2016 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Peut-on aujourd’hui, créer un environnement de confiance pour les personnes vulnérables ?

    "Écrasante responsabilité qui mine tant de conjoints et d’enfants, qui n’ont d’autre choix que d’espérer avoir fait « le bon choix » dans un sombre tunnel d’incertitudes, éclairés seulement par les quelques lumières de la solidarité désintéressée de leurs pairs : ces bénévoles des associations France Alzheimer qui ont, avant eux, traversé le feu, marché dans le tunnel, éclairés par les bénévoles des années antérieures"

    Publié le : 28/09/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Polyhandicap : À partir de quelle limite devons-nous ralentir ?

    "Des travaux menés sur la déglutition, les installations orthopédiques, des codes de communication sont utilisés, pratiqués, tout comme, quand cela s’avérait nécessaire, une gastrostomie était réalisée, une opération orthopédique. L’équipe avance et s’approprie les soins modernes. Est-ce déraisonnable ? À partir de quelle limite devons-nous ralentir ?"

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Brigitte Savelli , Cadre supérieur socioéducatif, Hôpital San Salvadour, AP-HP

  • Quand mourir est-il préférable à continuer de vivre pour l’enfant polyhandicapé ?

    "Chacun est porteur d’une perception de l’enfant et de ce qui est le mieux pour lui. La convergence des opinions des différentes personnes impliquées est nécessaire à un accompagnement adapté et partagé. L’anticipation est parfois possible quand les parents et le médecin référent ont pu aborder ce qui paraît ou non raisonnable."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Thierry Billette de Villemeur , Professeur de médecine, chef de service de neuropédiatrie, Hôpital Trousseau, Paris, et chef du pôle polyhandicap pédiatrique, Hôpital de La Roche Guyon, AP-HP

  • Fin de vie des personnes polyhandicapées

    "La responsabilité décisionnelle finale des soins et de l’accompagnement de la fin de vie des personnes polyhandicapées doit rester celle du médecin référent. Mais celui-ci ne doit jamais décider seul, ni dans l’urgence et, comme l’y oblige la loi, sa décision ne peut être prise qu’après la mise en œuvre d’une procédure collégiale authentique, rigoureusement organisée."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Gérard Ponsot , Ancien professeur de médecine, Membre du bureau du CESAP et du Conseil d’administration du Groupe polyhandicap France

  • Le corps sur le devant de la scène, dans la maladie de Parkinson

    "La maladie force à une nouvelle intimité. La première fois que j’ai du faire prendre une douche à mon mari, j’ai eu le sentiment de ne plus savoir faire ce que j’ai pourtant pratiqué avec de nombreux malades, comme si la dimension affective venait perturber mon savoir faire. Lui a perçu mon malaise qu’il a interprété comme de l’agacement parce qu’il pense qu’il s’agit d’une réaction « normale »."

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Frédérique Lanneau , Infirmière, épouse d’une personne atteinte de la maladie de Parkinson

  • Fin de vie des AVC graves : peut-on décider du handicap inacceptable ?

    "Peut-on définir ce qu’est un pronostic neurologique « catastrophique » ou un handicap « inacceptable » ? Comment décider, au-delà de l’incertitude pronostique, si la qualité de vie prédite pourrait être compatible avec les valeurs et les souhaits éventuels du patient ?"

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Sophie Crozier , Neurologue, praticien hospitalier, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • Ces vulnérabilités qui interrogent, voire interpellent

    "Il est en fait des vulnérabilités davantage évidentes que d’autres. Certaines demeurent quiescentes, indicibles, dissimulées, tant elles affectent la personne en ce qu’elle est. La compassion l’accablerait, alors qu’il convient de « sauver les apparences » et de préserver un espace intime inaccessible aux regards intrusifs, aux jugements hâtifs."

    Publié le : 12/02/2014 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Permettre de préserver la dignité de la personne en état dit pauci relationnel

    "Les mois passants, nous avons appris à nous connaître nous respecter et nous faire mutuellement confiance. Je dirai qu'aujourd'hui entre nous parents et l'équipe médicale ayant la responsabilité de notre fils, la relation est devenue paisible et constructive. Je voulais donc par cette expérience qui est propre à notre famille, faire comprendre combien il est essentiel d'avoir une relation de confiance et de transparence dans ses rapports avec l'équipe soignante.

    Publié le : 14/02/2014 | Auteur : Patrick et Sylvie Hélène Le Gloahec , Parents de Kévin

  • Dépendance ou interdépendance ?

    "La dépendance nous a offert une alternative, dépendance évaluable, à partir d’une grille d’évaluation de la dépendance ou plutôt de la perte d’autonomie, dite grille AGGIR (Autonomie Gérontologique Groupe Iso Ressource). L’intention était louable, évidemment mais, ce faisant, nous avons pris l’habitude, de fait, d’opposer autonomie et dépendance."

    Publié le : 13/03/2014 | Auteur : Michel Billé , Sociologue

  • Pages