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  • Autour du programme 13-Novembre (2/2)

    Le 6 décembre 2016, le Prix Pierre Simon, Éthique et société a été remis au programme 13-Novembre, dont l’objectif est d’étudier la construction et l’évolution de la mémoire après les attentats du 13 novembre 2015, tout en pensant l’articulation entre mémoire individuelle et mémoire collective.

    Publié le : 02/02/2017 | Auteur : Denis Peschanski , Historien

  • Avis Alzheimer, éthique, science et société

    Avis présenté en 2012 par l'Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 13/08/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • CECOS et enjeux de la procréatique

    Dossier thématique suite à la réunion du groupe de travail

    Publié le : 09/01/1998 | Auteur : Groupe Miramion / Espace éthique/IDF

  • Comment informer sans effraction ? Comment dire sans faire subir ?

    Que dire à la personne malade, à son entourage ? Comment lui parler sans effraction ? Comment trouver une parole qui resitue, redonne un repère, une parole suffisamment familière, dans cet exil identitaire ? Comment lui donner une information saisissable, c’est-à-dire qui ait une forme représentable pour elle ?

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Charlotte Costantino , Psychologue clinicienne, Clinique Villa des Pages

  • Communiquer jusqu'aux limites du possible

    "Pour retrouver la personne démente et la comprendre, il faut peut-être avoir une approche différente de l’approche médicale classique dont les soignants ont l’habitude. Faut-il toujours nous cantonner au repérage de signes connus, voire appris, sans se soucier de rechercher ce que le dément nous donne à comprendre ?"

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Confronté à l’annonce du handicap

    "Lorsque la pathologie vient briser l'espoir de perfection que l’enfant représentait (on ne veut plus « un » enfant mais « tel » enfant), celle-ci apparaît comme une limitation insupportable. Elle vient affirmer douloureusement une différence et une dévalorisation. La culpabilité qui en naît peut générer les comportements les plus divers et contradictoires."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Joëlle Janse-Marec , Médecin

  • Consentement éclairé, protection des personnes vulnérables : Le cas des donneurs vivants d'organes et de cellules

    Intervention tirée de la journée Les 50 ans de la Déclaration d'Helsinki, organisée sous le haut patronage de la Ministre des Affaires sociales et de la santé, et de la Secrétaire d'État à l'Enseignement supérieur et à la recherche au Ministère de la santé le 3 juin 2014.

    Publié le : 16/07/2014 | Auteur : Emmanuelle Prada-Bordenave , Directrice générale de l'Agence de la biomédecine

  • Crise sanitaire, crise climatique - Une crise de la communication ?

    Captation de la journée d'étude organisée le 16 mars 2021 en partenariat avec le Master Conseil éditorial de Sorbonne Université, l’Espace éthique Ile-de-France, et l'association des anciens du Master Conseil éditorial et le soutien des médias Sciences critiques et LVSL.

    Publié le : 23/04/2021 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Des soignants extrémistes de l'extrême

    "Soigner un patient en état végétatif persistant, signifie forcément se questionner sur des concepts existentiels qui prennent alors toute leur réelle dimension. D'où la nécessité d'une réflexion partagée au sein de l'équipe et de l'organisation d'un espace de parole. La réflexion se doit d'être insufflée par le cadre infirmier et le médecin responsable de l'unité de soins. Elle repose sur des valeurs partagées par les membres d'une équipe pluridisciplinaire."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie-Christine Guénin , Cadre supérieur infirmier, hôpital Maritime Berck, AP-HP

  • Devoir d'information du médecin, droit à la compréhension du patient

    "Pour analyser un système, un des moyens est l'examen des cas limites. Le recours aux soins des sourds en est un. D'anecdotique, s'il est considéré comme un fait isolé il devient symptomatique, par la mise en relief de pratiques fort répandues qu'il révèle. Le médecin demande : « ça va ? ; vous avez compris ? » à une personne sourde qui a pris l'habitude de dire oui, même si elle n'a rien compris."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Jean Dagron , Médein, Unité d’informations et de soins des sourds, service de médecine interne, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière

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