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  • Dédramatiser l’approche des soins palliatifs

    "Ce qu’elle ne comprend pas, c’est pourquoi, puisqu’on lui avait proposé du confort, elle retrouvait sa mère, lors des courts moments de visites autorisées, agitée et ligotée dans son lit ou encore avec les restes, sur sa chemise de nuit et sur ses draps, d’un café renversé sur elle quelques heures avant."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Vianney Mourman , Médecin, équipe mobile de soins palliatifs, Hôpitaux universitaires Saint-Louis, Lariboisière, Fernand Widal, AP-HP

  • Fin de vie en oncologie pédiatrique

    "La désignation des traitements comme palliatifs peut [‚...] s’introduire très en amont du décès des enfants, lorsque plusieurs types de traitements oncologiques sont encore accessibles, amenant à reculer de plusieurs mois voire de plusieurs années la fin de la vie."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Franck Bourdeaut , MD, PhD, INSERM U830 & Département d'oncologie pédiatrique, Institut Curie, Paris

  • Soins palliatifs en pédiatrie : paradoxes et questions éthiques

    "Il est impressionnant d’entendre les enfants nous confier leurs parents, nous remettre des objets symboliques avant leur décès. La synthèse de ce soin ainsi construit est qu’une confiance surgit toujours plus grande entre tous les membres de cette équipée même si la mort guette le moindre faux pas."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Alain de Broca , Neuropédiatre, Service UMICA, Unité mobile pédiatrique, Équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques Picardie, CHU d’Amiens

  • Fin de vie en hématologie

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Sandra Malak , Hématologue - Pôle d'Oncologie et de Médecine Nucléaire, Hôpital Saint Antoine

  • Radiothérapie en phase palliative

    "Si la radiothérapie est un traitement spécifique du cancer, elle constitue aussi un traitement symptomatique, avec pour visée d’améliorer les conditions quotidiennes de la fin de la vie. Il est question de donner un sens pratique, à court terme, à ce qui est proposé, qu’il s’agisse de traiter ou de ne pas traiter."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Thibaud Haaser , Médecin radiothérapeute, CHU de Bordeaux ; doctorant au Département de recherche éthique, université Paris Sud

  • Mourir chez soi, en EHPAD

    "Face à la pathologie démentielle, la famille vit souvent une relation de deuil anticipé avec son patient. Celui-ci lui renvoie parfois l’image du mort à venir qu’elle peut attendre tout en en redoutant le moment. Alors en plaçant le malade dans ce statut de « mort vivant », [...], on peut en arriver à nier les possibilités de relation par trop de souffrance."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans

  • Mourir en gériatrie à l’hôpital ?

    "Les services de gériatrie sont particulièrement concernés par les situations de fin de vie, que ce soit en court séjour, en soins de suite ou en soins de longue durée. Dans ces unités, les médecins et les soignants font de leur mieux pour accompagner les personnes en fin de vie, en évitant les souffrances et l’acharnement thérapeutique."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Christophe Trivalle , Médecin gériatre, CHU de Bicêtre, AP-HP

  • Faut-il transformer les unités de soins en « dormoirs » ?

    La proposition de loi Claeys-Leonetti, en proposant « une sédation profonde et continue (…) jusqu’au décès associée à une analgésie et à l’arrêt de l’ensemble des traitements de maintien en vie » à « la demande du patient d’éviter toute souffrance et de ne pas prolonger inutilement sa vie » crée un droit-créance. En cela, elle reflète parfaitement la postmodernité occidentale, avec sa tendance à réifier la personne et à utiliser chacun « comme un moyen et non toujours comme une fin ».

    Publié le : 02/03/2015 | Auteur : Clémence Joly , Médecin, responsable de l’unité de soins palliatifs, Centre hospitalier de Pont Audemer (Eure)

  • Valeurs du soin et fin de vie : mise en danger et compétence soignante

    "Se battre ne va pas de gaité de cœur, mais il y a des ”guerres justes”. Autrefois, il y a bien longtemps le soignant et le médecin étaient comme désignés par leur vocation. « Il a la vocation », pouvait faire office de diplôme. De nos jours, le dévouement, la relation d’aide doivent nous suffire et convenir au patient. « On est là pour ça ? » Exprime-t-on l’acquiescement ou la résignation ? Le ”ça” interroge-t-il encore assez la raison ”d’être soignant” ?"

    Publié le : 11/03/2015 | Auteur : Nicole Pélicier , Psychiatre, Hôpital européen Georges Pompidou, AP-HP

  • La sédation n’est pas un remède miracle

    Communication à l’audition publique organisée par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, le 20 janvier 2015.

    Publié le : 02/02/2015 | Auteur : Patrick Verspieren , Père jésuite, Centre Sèvres, Paris

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