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  • L'euthanasie, une fausse solution

    "Il s'agit d'un abus de langage que de faire passer pour un acte de volonté individuelle une décision qui instrumentalise un tiers, en l'occurrence le médecin. De même, il est paradoxal de dénier à la société un droit de regard sur la fin de vie - "c'est ma mort, elle ne concerne que moi ; moi seul doit décider" - quand à travers l'intervention du médecin, c'est la société tout entière qui est convoquée au chevet du malade."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Marianne Gomez , Journaliste à La Croix, rubrique famille, éthique, société

  • Expérience réunie en tant que médecin officiel et membre de la Commission nationale suisse d’éthique

    Un médecin suisse aborde sur la législation helvétique sur le suicide assisté et l'euthanasie ainsi que les problématiques juridiques, éthiques et morales qui émergent de ces situations.

    Publié le : 14/03/2012 | Auteur : Jean Martin , Médecin de santé publique, membre de la Commission nationale suisse d’éthique et du Comité international de bioéthique de l’UNESCO

  • Maladie d'Alzheimer, métaphore de notre temps ?

    La maladie d’Alzheimer peut être regardée non comme un mythe mais comme une sorte de métaphore pour notre temps, une métaphore qui nous parlerait moins des malades que de nous-mêmes et de notre fonctionnement sociétal.

    Publié le : 09/05/2011 | Auteur : Michel Billé , Sociologue

  • Faire société - Alzheimer, dépendance et vulnérabilité

    Publié le : 16/11/2011 | Auteur : Roselyne Bachelot-Narquin , Ancienne Ministre de la Santé et des Sports

  • Éthique de la responsabilité, point de vue d’un père

    "Worou-Guillaume est né au Bénin, en pleine brousse, il y a cinq ans maintenant. Grossesse normale, pas de soucis particuliers, accouchement sans probléme. Beau bébé, parents heureux ! [...] Au fur et à mesure, les déficits de motricité prennent de l’importance, des regards évasifs, un manque de tonicité nous inquiètent."

    Publié le : 14/03/2012 | Auteur : Cédric Gicquel , Membre du groupe polyhandicap France/Espace éthique/AP-HP

  • Une approche humaniste du soin

    "Oublions la notion “soigner”, expression vague, galvaudée dans son utilisation, pour réfléchir au concept du “prendre soin”, attention singulière à une personne singulière, accédant ainsi à ce qui constitue notre devoir d’humanité."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Françoise Duménil-Guillaudeau , Infirmière générale, directrice du service de soins infirmiers, Centre hospitalier de Rodez

  • Respect et présence de l'autre

    "La recherche de la présence à l'autre et de la présence de l'autre constitue le tissu même de notre vie la plus quotidienne. Sans elle, nous serions enfermés dans une errance solitaire, synonyme de détresse et de mort. Elle anime notre vie familiale, notre vie de travail, notre vie de loisirs, notre vie intellectuelle et notre vie politique."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Bernard Matray , Rédacteur en chef de la revue Laennec, accompagnateur

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • Le caractère humain d’un échange qui va respirer

    Publié le : 12/01/2009 | Auteur : Vincent Meininger , Professeur de médecine, Fédération des maladies du système nerveux. groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, Paris

  • Protéger sans contraindre

    Il est bien évident que la première personne dont nous pensons qu'elle doit être protégée, c'est le patient lui-même. Il faut protéger le patient atteint d'Alzheimer. Mais de quoi plus précisément ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

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