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  • Sédation, la confusion des approches

    "Si notre société souhaite légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté il est nécessaire de distinguer clairement ces actes d’une pratique médicale. À ne pas oser légiférer sur l’euthanasie et à vouloir trouver un consensus en recourant à la sédation, on amène de la confusion entre une action médicale à visée soignante et un moyen utilisé pour provoquer ou accélérer la mort."

    Publié le : 05/02/2015 | Auteur : Véronique Blanchet , Médecin, Unité mobile de soins palliatifs, hôpital Saint-Louis, AP-HP

  • Discussion anticipée ou directive anticipée ?

    "Devant la brisure qui s’annonce, la personne malade désire avant tout de ne pas être abandonnée. Rarement elle abdique."

    Publié le : 10/02/2015 | Auteur : Bruno Dallaporta , Néphrologue, Centre d’hémodialyse chronique, Clinique Edouard Rist (Paris)

  • Fin de vie, les vérités du soins

    Un dossier spécial, fruit des meilleures compétence, en conclusion de deux années de concertation nationale sur la fin de vie de décembre 2014

    Publié le : 09/12/2014

  • Les directives anticipées : une figure de la culture du narcissisme... sans application éthique

    "L'idéologie narcissique du sujet ministre de sa mort suscite l'effroi de la conscience, parce qu'elle enveloppe de son abstraction grise les innombrables reliefs d'une personnalité, d'une vie, d'une souffrance qui, si elles se laissent appréhender sous le regard d'autrui, répugnent à se prendre elles-mêmes pour objet."

    Publié le : 05/01/2015 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Fin de vie et précarité - Six parcours

    Un rapport de l'Observatoire national de la fin de vie (ONFV) publié en 2014

    Publié le : 08/01/2015 | Auteur : Observatoire national de la fin de vie

  • Fragilité, dépendance, attente et dignité au grand âge - Les multiples visages de la fin de vie

    "Il est nécessaire que des médecins et des soignants formés à une telle médecine qui est en train de se réinventer aujourd’hui comme on le voit autour des personnes âgées fragiles alimentent la réflexion citoyenne dans une société où prévaut encore une large phobie de la mort et où tendent à se généraliser des qualifications hâtives d’indignité."

    Publié le : 30/03/2015 | Auteur : Daniel Dreuil , Médecin gériatre, délégué au lien Ville-Hôpital, CHRU de Lille

  • Observations d’ordre éthique autour de la proposition de loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie

    Analyse sous l'angle éthique de la Proposition de loi créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie adoptée en première lecture à l’Assemblée Nationale le 17 mars 2015, suivi d'une proposition de nouvelle rédaction de l'article 3 L.1110-5-2

    Publié le : 01/07/2015 | Auteur : Groupe de concertation éthique & fin de vie, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Mourir chez soi

    "Petit à petit l’espace s’est rétréci et le temps s’est allongé, comme pour se mettre à disposition de la mort et lui préparer la place. Chez soi, dans cet espace si intime, on attend la grande inconnue : la mort."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Catherine de Brabois , Directrice de SSIAD, Paris, doctorante, Espace éthique/IDF, université Paris Sud

  • Faire ce qu’il y a à faire

    "Quelques jours plus tard, un lundi matin, je suis rappelé au domicile de monsieur M. Sa femme me dit qu’il refuse de s’alimenter depuis trois jours, tout juste accepte-il de boire. Son état général s’est terriblement aggravé. Visiblement il a décidé d’en rester là."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Bruno Fron , Médecin généraliste, Paris

  • Les conditions d’une fin de vie digne et apaisée

    "À côté de la mort redoutée, l’indifférence à la mort est plus rare. Dans notre jargon, c’est le syndrome de « glissement » : des personnes souvent âgées et seules ont décidé de se laisser mourir, en opposant une passivité totale aux agressions des maladies et des traitements."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Laurent Beaugerie , Gastro-entérologue, Praticien Hospitalier à l’AP-HP, Professeur des Universités à Paris 6, membre du Conseil National des Universités et vice-président de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie

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