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  • La bonne mort en urgence

    Publié le : 19/04/2011 | Auteur : Claire-Marie Le Huu-Etchecopar , Infirmière, unité de soins de support, Bruxelles

  • Enquête nationale “DemandE” - Formuler une demande d’euthanasie en soins palliatifs

    Publié le : 16/11/2011 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Valeurs originelles d’accompagnement

    Publié le : 04/11/2011 | Auteur : Jean Claude Ameisen , Professeur d’immunologie, université Paris 7, président du Comité consultatif national d’éthique

  • Augmenter la puissance d’exister en fin de vie, ou comment préserver la dignité du mourant

    Provoquer la mort d’autrui, fût-ce à sa demande, ne lui rend pas sa dignité. Comment rendre quelque chose à quelqu’un qui n’existe plus ? De la même façon, pourquoi euthanasier une personne si sa fin de vie est digne encore d’être vécue ? Parce qu’elle le demande, dira-t-on, et qu’elle veut absolument éviter qu’elle ne devienne indigne. Mais quelles sont les limites de ce raisonnement ?

    Publié le : 10/01/2012 | Auteur : Eric Fourneret , Docteur en philosophie

  • Face à la demande des personnes en fin de vie

    Témoignage d'un cadre infirmier et infirmière clinicienne en unité de soins palliatifs, qui revient sur son expérience personnelle d'accompagnement de la personne en fin de vie dans des situations de douleurs.

    Publié le : 04/11/2011 | Auteur : Simone Bevan , Cadre infirmier, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP.

  • Grands prématurés : enjeux éthiques de la décision en néonatologie

    "Doit-on laisser mourir les enfants nés très prématurément, sous prétexte qu'ils ont un risque de survivre handicapé ? Une telle abstention ne s'apparente-t-elle pas à un meurtre par omission ? Et si l'on fait ce choix, comment définir le niveau de risque, le niveau de handicap qui, a priori, autoriserait de ne rien tenter pour sauver ces nouveau-nés ? Peut-on laisser survivre malgré tout ces enfants, ou doit-on arrêter les soins qui leur sont prodigués, c'est-à-dire arrêter leur vie ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Michel Dehan , Chef de service de pédiatrie et de réanimation néonatale, hôpital Antoine-Béclère, AP-HP

  • Rites d’hospitalité en chambre mortuaire

    "Dans bien des cas, le soin consacré aux morts s’oppose aux mentalités de déni à l’égard de ce sur quoi la maîtrise technique n’a désormais plus de prise, d’indifférence, voire de mépris. Ce souci encore témoigné, cet attachement portés à la méticulosité de gestes, d’attentions intimes dont on ne soupçonne que rarement la véritable portée relèvent d’une attitude de piété affirmée dans le contexte souvent anonyme et douloureux de cette chambre de la mort."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Protéger la vie

    "Dans notre travail, nous devons préparer la personne morte, l'habiller avec décence. Il s'agit là d'un enjeu éthique, par rapport à ce qu'elle a été, mais aussi pour participer au deuil de la famille. On est intéressé lorsque les familles nous parlent de leur défunt. Pour nous c'est important. Notre relation devient différente, plus proche."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Jean-Yves Noël , Infirmier, responsable de l'amphithéâtre des morts, hôpital Necker - Enfants-Malades, AP-HP

  • Les gestes invasifs et la chirurgie à utérus ouvert

    "Toute parole médicale concernant une imperfection de l'enfant à naître est potentiellement létale. Si elle est transmise sans espérance, elle conduit à une demande d'interruption médicale de grossesse. C'est à ce moment que le médecin doit justifier auprès des parents les soins que nécessite le bébé à naître. Dans ces circonstances, il doit en parler dans tout ce qu'il a de normal, de bon, de positif et ne pas le réduire à son imperfection, à son anomalie."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Claire Nihoul-Fékété , Chef du service de chirurgie infantile, hôpital Necker - Enfants Malades

  • Définir un handicap en anténatal : les complexités

    "La mesure du temps change durant neuf mois. L'urgence est réelle, mais se résume plutôt à la nécessité d’accéder à un moment particulier de disponibilité intellectuelle et affective permettant d’entamer un dialogue sur le handicap. Par sa complexité et ses enjeux, la discussion qui va avoir lieu nécessite que la phase de choc soit passée, pour le couple aussi bien que pour le médecin, afin que chacun s’ouvre à la compréhension et la réflexion"

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Véronique Mirless , Obstétricienne, service de Médecine foetale, Institut de Puériculture Brune, Paris

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