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  • Servir nos aînés et leurs aidants

    Publié le : 16/11/2005 | Auteur : Alain Koskas , Psychologue clinicien, Président du Conseil scientifique de la « Fédération internationale des associations de personnes âgées », Membre de la Commission des droits de l’homme de la conférence des OING du Conseil de l’Europe

  • « Alors, je ne pourrai plus […] ? » Réflexion éthique autour de l’expression de la perte

    Publié le : 16/02/2010 | Auteur : Juliette Gabay , Psychologue clinicienne en unité de soins de longue durée, Hôpital Emile Roux, Limeil-Brévannes, AP-HP

  • Poser un autre regard sur la personne malade

    Texte tiré de l'intervention de Blandine Prevost, fondatrice de l'association AMA DIEM et atteinte par la maladie d'Alzheimer, donnée au cours de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société 2011

    Publié le : 12/12/2011 | Auteur : Blandine Prevost , Membre fondatrice de l’association AMA DIEM

  • Aides et accueils de la maladie d'Alzheimer

    La prise en charge des malades atteints d'Alzheimer est-elle spécifique, et si oui, y a-t-il lieu d'imaginer une prise en charge par des dispositifs et une enveloppe financière spécifiques ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Florence Leduc , Fédération nationale des associations de soins et de services à domicile (Fassad)

  • Réalité de la maladie d'Alzheimer : Les soignants s'engagent

    Engagements pluriels des soignants face à la maladie d'Alzheimer, au vécu des patients et des proches, des conditions d'accès au soin et d'accueil des personnes malades.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Claude Ngunuu , Cadre infirmier, centre hospitalier de Lagny/Marne-la-Vallée

  • Les pouvoirs publics s'engagent aux côtés des soignants

    "Prévention ou diagnostic précoce, amélioration de la prise en charge à tous les degrés ou à tous les niveaux d’entrée dans le système institutionnel, anticipation et accompagnement des malades qui sont des malades lourds et de leur entourage, notamment familial, constituent des questions qui recouvrent non seulement les aspects médicaux et soignants mais prennent une dimension éthique."

    Publié le : 10/09/2004 | Auteur : Édouard Couty , Directeur de l’hôpital Saint-Louis

  • Une réflexion pour mieux servir la personne malade

    Texte d'ouverture du numéro Hors-Série de la Lettre de l'Espace éthique consacrée à la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Changer notre regard sur la maladie d'Alzheimer

    "Le déni de la maladie crée une injustice flagrante. Les malades sont encore soignés trop tard, quand on ne peut plus rien faire. Certes, des dispositifs existent pour une meilleure prise en soin de ces malades et de leurs aidants. Toutefois, une véritable volonté politique nationale qui les rendent opérationnels fait encore défaut."

    Publié le : 16/11/2005 | Auteur : Robert Moulias , Professeur de médecine, président de l’Association internationale de gérontologie, région Europe, coordonnateur du groupe de recherche et de réflexion Éthique et vieillesse, Espace éthique/AP-HP

  • Exclusion sociale et démence

    "Les professionnels de l’aide, surtout ceux qui exercent en institution d’accueil, sentent encore trop le regard dévalorisant posé sur l’hospice, sur ceux qui y travaillent comme ceux qui y sont accueillis. Loin d’être appréhendée comme « une œuvre de choix qui nécessite beaucoup d’amour » — de savoir, comme de savoir-faire —, leur fonction est considérée comme ennuyeuse et facile et on lui refuse encore trop souvent la noblesse de sa compétence."

    Publié le : 16/11/2005 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

  • Nous devons un regard de citoyenneté à chaque personne

    "Je me demande toujours au nom de quoi la société se permettrait de dire que cette personne n'a pas droit à sa décision personnelle, même si son cerveau est blessé. - C'est sûr, je peux faire des dégâts. Mais si j'ai envie de fuguer, de retrouver le cadre où j'étais avant et de partir de cet établissement où on m'a plus ou moins enfermé parce que ma famille ne pouvait plus supporter la situation ? Puisqu'on ne l'aide pas, cette famille, à garder son ancien, on m'a mis dans cette maison. Je connais cette peine et cette angoisse des soignants dans ces difficultés. Si je veux me débarrasser de tout cela, on me ramènera comme un voleur, dans un car de police-secours.- "

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Maurice Bonnet , Vice-président du Comité national des retraités et personnes âgées (CNRPA)

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