Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 81 à 90 sur un total de 135.
  • L’annonce anticipée : interroger les intentions et les conséquences éthiques

    "Notre système nerveux est riche de plus de 80 milliards de neurones. Les maladies dites dégénératives évoluent dans cette richesse cellulaire bien longtemps avant de devenir cliniquement décelables. C’est là tout le drame de l’impuissance curative des neurologues. Nos traitements arrivent beaucoup trop tard."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Nadine Le Forestier , Neurologue, Centre SLA Ile-de-France, docteur en éthique médicale, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • L’euthanasie, un choix de société

    "Peut-on admettre que la société assigne aux médecins la tâche de tuer un patient et que soit prévue, par la loi, l'administration de la mort ?"

    Publié le : 21/05/2008 | Auteur : Corine Pelluchon , Philosophe et professeure de philosophie, Université Gustave Eiffel

  • L’identité à l’épreuve du temps dans la maladie neurologique dégénérative

    "La maladie d’Alzheimer provoquant d’importants troubles de la mémoire, ceux-ci entraînent-t-ils inévitablement des répercussions sur l’identité et sur le sentiment d’identité du patient ? Peut-on espérer rester soi-même lorsque notre mémoire tombe malade ?"

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Marie-Loup Eustache-Vallée , Philosophe, enseignante et membre de l’unité de recherche U1077, Inserm - EPHE – université de Caen/Basse-Normandie

  • L’idée de partage, un nouvel esprit éthique

    "Partager une joie, c’est transcender la vision d’une humanité divisée, fragmentée ; d’une humanité constituée d’individus atomisés jouant chacun pour soi sa partie ou son rôle sur la scène du théâtre social. Comme l’a montré en son temps Spinoza, partager c’est alors l’un par l’autre, dans cette union affective autant que rationnelle, amplifier le sentiment d’une commune humanité."

    Publié le : 16/05/2006 | Auteur : Dominique Lecourt , Philosophe, Président du Comité d’éthique de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), professeur de philosophie à l’Université de Paris 7, directeur du Centre Georges Canguilhem

  • L’oubli destructeur

    L’oubli n’est pas simplement un trou de mémoire ou, à la longue, une déficience fâcheuse. C’est d’abord une faculté active qui permet de tourner la page (ou même, plus radicalement, de changer de livre). Mais comme penser la forme "destructrice" de l'oubli, involontaire, massive, qui affecte notamment les patients atteints de maladies neuro-dégénératives ?

    Publié le : 03/09/2009 | Auteur : Yannis Constantinidès , Professeur agrégé et docteur en philosophie

  • L’émergence de la bioéthique

    Le développement de l’éthique médicale contemporaine plonge ses racines dans le contexte politique et social du libéralisme individualiste des années 1960 et s’est structuré autour du rapide progrès des biotechnologies. L’application des technologies modernes aux divers champs de l’activité médicale a confronté les médecins et les chercheurs à des conflits et des dilemmes éthiques inédits qui mettaient en jeu leurs responsabilités éthiques face aux nouvelles possibilités d'intervention sur le vivant. La conception traditionnelle de la responsabilité médicale semblait alors inadaptée à ces nouveaux défis.

    Publié le : 19/05/2014 | Auteur : Lazare Benaroyo , Professeur d’éthique et philosophie de la médecine, faculté de biologie et de médecine, président de la Plateforme interdisciplinaire d’éthique (Ethos) de l’université de Lausanne, Suisse

  • L’éthique du soin au cœur des petites choses

    "Ces petites choses, comme ils nous disent, on les dit petites car elles sont non visibles, non mesurables. On parle de choses, car elles ne sont pas nommées, elles ne sont pas prescrites. C’est un geste, une parole, un silence, un sourire, une présence… Ce qui permet au patient de se sentir propre, de se sentir vivant, de se reconnaître, de garder confiance…"

    Publié le : 20/02/2014 | Auteur : Marie-Claude Vallejo , Cadre de santé, CHU de Toulouse, doctorante au Département de recherche éthique, université Paris Sud, auteure de Une approche philosophique du soin. L’éthique au cœur des petites choses, éditions érès

  • L’éthique ne s’apprend pas, elle se vit en questionnements

    "Dans le domaine de la santé, aujourd’hui où la science, le réel, le prédit se confondent avec la vérité dans l’imaginaire de nos contemporains, la vulnérabilité de l’autre est plus que jamais un appel irréfutable à la responsabilité. Le soignant, dont la vie est chevillée à la promesse, voit son engagement régulièrement vaciller devant un état de fait inhérent à son art : la relation interhumaine dans le prendre soin demeure asymétrique."

    Publié le : 12/02/2014 | Auteur : Nadine Le Forestier , Neurologue, Centre SLA Ile-de-France, docteur en éthique médicale, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • Maladie d'Alzheimer, identité et implications philosophiques

    Un dossier thématique réalisé avec la revue Implications Philosophiques autour des questions spécifiquement philosophiques posées par le nouveau rapport à cette identité modifiée par la maladie.

    Publié le : 03/09/2012 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer / Revue Implications Philosophiques

  • Maladie d'Alzheimer, métaphore de notre temps ?

    La maladie d’Alzheimer peut être regardée non comme un mythe mais comme une sorte de métaphore pour notre temps, une métaphore qui nous parlerait moins des malades que de nous-mêmes et de notre fonctionnement sociétal.

    Publié le : 09/05/2011 | Auteur : Michel Billé , Sociologue

  • Pages