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  • Aider le proche à trouver sa place en réanimation : le rôle essentiel du soignant

    Si la perte de la capacité d’action n’est pas synonyme de perte d’autonomie, il faut néanmoins, pour retrouver une autonomie, s’accrocher à des liens et codes subtils, codes que les soignants, en dépit de leur professionnalisme, ne peuvent connaître avec autant de finesse qu’un proche.

    Publié le : 03/09/2009 | Auteur : Serge Duperret , Praticien hospitalier, Service de réanimation chirurgicale, HCL, Lyon, docteur en éthique, Université Paris-Sud - Paris-Saclay

  • Annoncer le cancer : entre devoirs humains et normes pratiques

    Publié le : 12/01/2009 | Auteur : Edwige Bourstyn , Chirurgienne, Centre des maladies du sein, hôpital Saint-Louis, AP-HP

  • Attentes de la personne expert et acteur de sa maladie

    Témoignage d'une personne atteinte par une maladie de Crohn, qui aborde son ressenti, les bases nécesssaires d'un bon partenariat patient/malade et insiste sur l'importance pour la personne atteinte par la maladie de se considérer activement comme acteur et expert de sa propre situation.

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Corinne Devos , Bénévole représentant la région Ile-de-France, Association François Aupetit

  • Face à la souffrance et à la détresse existentielle en fin de vie

    Quelle relation tisser avec un patient face à une détresse existencielle ? Quelles limites fixer à l'autonomie du sujet dans un contexte de vulnérabilité extrême ?

    Publié le : 28/10/2014 | Auteur : Martine Ruszniewski , Psychologue clinicienne, Institut Curie, Paris, membre du groupe de recherche « Décisions et responsabilités en fin de vie », Espace éthique région Ile-de-France

  • Jamais tranquille... La vie face au cancer du sein

    Dans le cadre de l'édition 2014 d'Octobre rose 2014, le mois du cancer du sein, l'Espace éthique vous propose ce témoignage.

    Publié le : 21/10/2014 | Auteur : Sylvie Froucht-Hirsch , Anesthésiste réanimateur, Fondation Ophtalmologique Rothschild, auteur de Le temps d’un cancer – Chroniques d’un médecin malade, Éditions érès

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • La maladie chronique : un événement de vie

    Comment comprendre la maladie grave comme événement "intime", incompréhensible sans prise en compte de l'histoire de la personne ? Comment concevoir une prise en charge qui permette une vie, et non une simple survie, à la personne touchée par la maladie ?

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

  • La violence institutionnelle en gériatrie : engrenage inévitable ou nécessaire prise de conscience ?

    L’autre, le malade, l’objet de nos soins est sujet lui aussi, tout comme nous, il entre en action de relation, face à nous. Nous avons souvent choisi ce métier pour ce face-à-face idéal. Pourtant il suffit de passer de l’autre coté du miroir, d’être malade pour éprouver que ce face-à-face n’est pas égalité, qu’il est en fait un jeu de pouvoir.

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Monique Saffy , Cadre supérieur infirmier, la Collégiale, ancienne coordonnatrice du Groupe Miramion Violences en institution

  • Le temps du soupçon

    Réflexion sur le temps du soupçon de la maladie grave, avec toute l’inquiétude qu’il comporte et la possibilité qu’il ouvre à une préparation psychique pour faire face à la violence de l’annonce du diagnostic.

    Publié le : 02/09/2010 | Auteur : Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

  • Les paradoxes du savoir précoce

    La précocité est devenue un maître-mot, sinon le maître-mot, en matière de maladie d'Alzheimer. Cela est vrai à la fois au plan biologique (avec le diagnostic au stade « pauci-symptomatique ») et au plan médical (avec la notion gériatrique de « fragilité »), mais aussi au plan éthique et juridique (avec l'idée de « planification anticipée des aides et des soins » et la possibilité de désigner un « mandataire de protection future »).

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

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