Crédit photo d'illustration : Hervé Baudat
Ce dossier a initialement été publié sur le site de l'Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer. Néanmoins, la pertinence et la transversalité de ses thèmes (interprétation, dévaluation de la parole de la personne malade, transculturalité...) nous semble justifier son élargissement aux autres pathologies.
La maladie d’Alzheimer peut être perçue comme la maladie de la communication : parole sensible, communication et relation aidant/malade/médecin perturbées… Cette pathologie impose une réflexion sur le dire, l’échange, le respect de la parole à chaque étape de la maladie.
A travers ces textes, publiés sur le site de l’EREMA, nous tentons de rendre compte de la diversité des questionnement éthiques liés à la parole, à la communication et à l’annonce : respect de cette parole et de l’autonomie, annonce des nouvelles, notamment mauvaises, rôle du secret, du mensonge et de l’incommuniqué, et importance absolue de maintenir cette communication, jusqu’aux « limites du possible ».