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  • Dormez, je le veux !

    "Du point de vue médical, d’où vient qu’une mort apaisée est une mort choisie et maitrisée ? D’où vient qu’une bonne mort est une mort accélérée ? D’ou vient qu’une mort endormie est une mort préférable ? D’où vient que la sédation est un sommeil ? D’ou vient que l’euthanasie et le suicide assisté sont de tels tabous qu’il faille nécessairement les intégrer à la médecine alors que leur raison d’être en est une parfaite contradiction ?"

    Publié le : 19/01/2015 | Auteur : Sylvain Pourchet , Médecin (Paris), ancien responsable de l’unité de soins palliatifs de l’hôpital Paul Brousse (AP-HP) et du Diplôme Universitaire d’accompagnement et soins palliatifs de l’université Paris Sud

  • Droits des malades en fin de vie et neuroéthique

    Intervention du Professeur Louis Puybasset dans le cadre de la série d'auditions menée par l'Assemblée Nationale autour de l'"affaire Chantal Sébire". L'auteur y défend une position défavorable à une modification de la loi du 22 avril 2005, présente les spécificités des patients cérébrolésés dont il a la charge et, enfin, propose des pistes d'amélioration de la culture palliative en France.

    Publié le : 20/10/2008 | Auteur : Louis Puybasset , Professeur de médecine, Neuro-réanimation Chirurgicale Babinski, Département d'Anesthésie-Réanimation, Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, université Pierre et Marie Curie, Paris 6

  • Fin de vie et précarité - Six parcours

    Un rapport de l'Observatoire national de la fin de vie (ONFV) publié en 2014

    Publié le : 08/01/2015 | Auteur : Observatoire national de la fin de vie

  • Fin de vie, les vérités du soins

    Un dossier spécial, fruit des meilleures compétence, en conclusion de deux années de concertation nationale sur la fin de vie de décembre 2014

    Publié le : 09/12/2014

  • Fins de vie : notre commune humanité

    "L’application de la loi permettrait d’éviter cet abandon en fin de vie des personnes en douleur. N’est-il pas dangereux, dans un tel contexte, d’envisager un recours à l’euthanasie comme alternative à un défaut d’accès aux soins palliatifs ? Ne s’agit-il pas, comme le dit Edouard Ferrand, d’« une mauvaise réponse à un vrai problème » ?"

    Publié le : 01/10/2007 | Auteur : Jean Claude Ameisen , Professeur d’immunologie, université Paris 7, président du Comité consultatif national d’éthique

  • La lettre de l'Espace éthique-AP/HP n°9-10-11

    Au sommaire : Un dossier spécial "Fins de vie et pratiques soignantes"

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • La relation équipe soignante-familles en fin de vie

    "Accompagner les familles confrontées à la proximité de la mort d'un de ses membres nous renvoie à la notion de communication, à la problématique du temps et à l'épreuve de l'impuissance."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Nicole Landry-Dattée , Médecin anesthésiste-réanimateur, à l’institut Gustave-Roussy de Villejuif / Christine Théodore , Médecin oncologue, Institut Gustave Roussy, Villejuif / Danielle Velardo , Cadre infirmier, Institut Gustave Roussy, Villejuif.

  • Le suicide assisté, une notion archaïque

    Publié le : 11/02/2011 | Auteur : Didier Sicard , Président d’honneur du Comité consultatif national d’éthique

  • Livret Droits des malades en fin de vie

    Un livret pour permettre aux professionnels comme aux citoyens de mieux s'approprier les principes portés par la loi du 22 avril 2005, dite loi "Leonetti".

    Publié le : 27/11/2013 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

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