"Mais concernant la vie, où passe la frontière entre l’artifice accepté et même souhaité parce que bénéfique, et un autre, négatif, rejeté et même condamnable ? Est-ce l’idée d’un maintien de notre vie qui échapperait aux normes et aux conditions naturelles, factice en quelque sorte, et qui deviendrait exclusivement dépendant d’une machinerie qu’on ne pourrait plus arrêter une fois mise en place ?"
Publié le : 06/10/2015 | Auteur :
Armelle
Debru ,
Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF