"Si la loi du 4 mars 2022 a été proposée, c'est sans doute qu'elle correspondait à une demande. Seraient-ce les usagers, les associations qui les regroupent, les soignants, les juristes, les assurances, qui auraient, tous à la fois peut-être, présenté une telle requête ? S'est-on demandé ce qu'une telle demande pouvait recouvrir ? Sait-on au juste ce que veulent vraiment savoir les patients ? A-t-on pris soin d'interroger les notions complexes de savoir et de vérité ?"
Publié le : 17/06/2003 | Auteur :
Claire
Fournier ,
Psychologue, psychanalyste, CHU Saint-Louis, AP-HP