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  • Assistance médicale au suicide : quelle position pour le psychiatre ?

    "Comme il est du devoir de n’importe quel médecin de soulager, il est du devoir du psychiatre de reconnaître la dépression et de la traiter pour soulager son patient."

    Publié le : 05/02/2015 | Auteur : Françoise Chastang , Psychiatre, CHU Côte de Nacre, Caen, Espace de réflexion éthique de Basse-Normandie, EA 1610, université Paris Sud / Michel Walter , Professeur des universités, psychiatre, CHU, Brest / Cécile Omnes , Psychiatre, Centre hospitalier Charcot, Plaisir (78), Groupement d’études et de prévention du suicide (GEPS) / Jacques Vedrinne , Psychiatre, université de Lyon

  • Sédation, la confusion des approches

    "Si notre société souhaite légaliser l’euthanasie ou le suicide assisté il est nécessaire de distinguer clairement ces actes d’une pratique médicale. À ne pas oser légiférer sur l’euthanasie et à vouloir trouver un consensus en recourant à la sédation, on amène de la confusion entre une action médicale à visée soignante et un moyen utilisé pour provoquer ou accélérer la mort."

    Publié le : 05/02/2015 | Auteur : Véronique Blanchet , Médecin, Unité mobile de soins palliatifs, hôpital Saint-Louis, AP-HP

  • Discussion anticipée ou directive anticipée ?

    "Devant la brisure qui s’annonce, la personne malade désire avant tout de ne pas être abandonnée. Rarement elle abdique."

    Publié le : 10/02/2015 | Auteur : Bruno Dallaporta , Néphrologue, Centre d’hémodialyse chronique, Clinique Edouard Rist (Paris)

  • Ne pas trahir les valeurs du don d’organes !

    Éditorial d'opinion et d'analyse autour de l'amendement Touraine/Delaunay qui propose de ne plus recueillir auprès des familles la position du défunt qui n’aurait pas exprimé son refus d’un prélèvement sur le registre national automatisé.

    Publié le : 31/03/2015 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Faire le bien en visant le moindre mal

    S’ils acceptent, prélever les organes et les tissus parce que les proches nous en donnent l’autorisation ne me paraît pas plus légal que d’accepter de ne pas prélever quand les proches s’y opposent. Le corps des défunts n’appartient ni aux proches ni aux familles.[...] En faisant reposer, en pratique, la décision de prélèvement sur les proches de la personne décédée, notre législation ne garantit pas que la volonté du défunt soit respectée.

    Publié le : 31/03/2015 | Auteur : Renaud Gruat , Médecin anesthésiste réanimateur, coordinateur de prélèvements d’organes et de tissus, Centre hospitalier René Dubos, Pontoise, enseignant à l’Espace de réflexion éthique région Ile-de-France

  • Pour un amendement éthique et légitime

    "Pour que le « qui n’a pas refusé officiellement consent » soit juste, il faudrait que la totalité des personnes soumises à la loi en ait connaissance. Le principe suivant lequel nul n’est sensé ignorer la loi, ne me semble pouvoir s’appliquer ici, dans une problématique aussi privée et délicate."

    Publié le : 31/03/2015 | Auteur : Philippe Barrier , Professeur de philosophie, Lauréat de l'Académie de Médecine, docteur en sciences de l’éducation, enseignant associé au Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Espace national de réflexion éthique MND : l’aventure d’une création éthique au cœur de notre vie démocratique

    "Cette éthique en acte, ce courage d’affirmer le droit des personnes reléguées des priorités immédiates et déconsidérées ne serait-ce qu’en contestant leur citoyenneté, sont incarnés sur le terrain – au domicile ou en institution – par des militants associatifs, des proches et des professionnels. Ils inventent et incarnent au quotidien ces gestes d’humanité."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ?

    "La question « qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ? » ne demande pas qu’est-ce que nous avons à en dire mais que dit-elle de nous, individuellement et socialement. La question est celle alors du malade dans la maladie et non plus de la maladie sans le malade. Elle n’est plus question de physique mais d’éthique et de métaphysique."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Jean-Philippe Pierron , Philosophe, Chaire Valeurs du soin, Lyon 3

  • Accepter le diagnostic et ses conséquences dans la vie

    "Il faut du temps pour accepter le diagnostic, il faut du temps pour en accepter les conséquences mais pourtant nous savons que ce travail se déroule et que les malades peuvent évoluer dans le sens de l’acceptation. Certes, plus la maladie avance plus les capacités de pouvoir effectuer ce travail d’acceptation deviennent difficiles à mobiliser par le malade, tout au moins d’une manière spontanée. Mais finalement n’est-ce pas non plus un point commun qui rassemble tous les malades : ce besoin d’être aidé dans ce cheminement ?"

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS

  • L’annonce anticipée : interroger les intentions et les conséquences éthiques

    "Notre système nerveux est riche de plus de 80 milliards de neurones. Les maladies dites dégénératives évoluent dans cette richesse cellulaire bien longtemps avant de devenir cliniquement décelables. C’est là tout le drame de l’impuissance curative des neurologues. Nos traitements arrivent beaucoup trop tard."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Nadine Le Forestier , Neurologue, Centre SLA Ile-de-France, docteur en éthique médicale, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

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