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  • Dédramatiser l’approche des soins palliatifs

    "Ce qu’elle ne comprend pas, c’est pourquoi, puisqu’on lui avait proposé du confort, elle retrouvait sa mère, lors des courts moments de visites autorisées, agitée et ligotée dans son lit ou encore avec les restes, sur sa chemise de nuit et sur ses draps, d’un café renversé sur elle quelques heures avant."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Vianney Mourman , Médecin, équipe mobile de soins palliatifs, Hôpitaux universitaires Saint-Louis, Lariboisière, Fernand Widal, AP-HP

  • Polyhandicap : À partir de quelle limite devons-nous ralentir ?

    "Des travaux menés sur la déglutition, les installations orthopédiques, des codes de communication sont utilisés, pratiqués, tout comme, quand cela s’avérait nécessaire, une gastrostomie était réalisée, une opération orthopédique. L’équipe avance et s’approprie les soins modernes. Est-ce déraisonnable ? À partir de quelle limite devons-nous ralentir ?"

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Brigitte Savelli , Cadre supérieur socioéducatif, Hôpital San Salvadour, AP-HP

  • Quand mourir est-il préférable à continuer de vivre pour l’enfant polyhandicapé ?

    "Chacun est porteur d’une perception de l’enfant et de ce qui est le mieux pour lui. La convergence des opinions des différentes personnes impliquées est nécessaire à un accompagnement adapté et partagé. L’anticipation est parfois possible quand les parents et le médecin référent ont pu aborder ce qui paraît ou non raisonnable."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Thierry Billette de Villemeur , Professeur de médecine, chef de service de neuropédiatrie, Hôpital Trousseau, Paris, et chef du pôle polyhandicap pédiatrique, Hôpital de La Roche Guyon, AP-HP

  • Fin de vie des personnes polyhandicapées

    "La responsabilité décisionnelle finale des soins et de l’accompagnement de la fin de vie des personnes polyhandicapées doit rester celle du médecin référent. Mais celui-ci ne doit jamais décider seul, ni dans l’urgence et, comme l’y oblige la loi, sa décision ne peut être prise qu’après la mise en œuvre d’une procédure collégiale authentique, rigoureusement organisée."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Gérard Ponsot , Ancien professeur de médecine, Membre du bureau du CESAP et du Conseil d’administration du Groupe polyhandicap France

  • Les personnes à conscience altérée

    "Alors que la loi Leonetti renforce l’autonomie du patient, les glissements et les interprétations qui en sont faites ne font que renforcer le pouvoir solitaire du médecin dans une option induisant le « faire mourir », bien différente du « laisser mourir » d’une personne hors d’état d’exprimer sa volonté."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Bernard Jeanblanc , Chef de service du pôle handicap, Maison de Santé Bethel, Oberhausbergen (67)

  • Fin de vie en oncologie pédiatrique

    "La désignation des traitements comme palliatifs peut [‚...] s’introduire très en amont du décès des enfants, lorsque plusieurs types de traitements oncologiques sont encore accessibles, amenant à reculer de plusieurs mois voire de plusieurs années la fin de la vie."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Franck Bourdeaut , MD, PhD, INSERM U830 & Département d'oncologie pédiatrique, Institut Curie, Paris

  • Soins palliatifs en pédiatrie : paradoxes et questions éthiques

    "Il est impressionnant d’entendre les enfants nous confier leurs parents, nous remettre des objets symboliques avant leur décès. La synthèse de ce soin ainsi construit est qu’une confiance surgit toujours plus grande entre tous les membres de cette équipée même si la mort guette le moindre faux pas."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Alain de Broca , Neuropédiatre, Service UMICA, Unité mobile pédiatrique, Équipe ressource régionale de soins palliatifs pédiatriques Picardie, CHU d’Amiens

  • Fin de vie en hématologie

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Sandra Malak , Hématologue - Pôle d'Oncologie et de Médecine Nucléaire, Hôpital Saint Antoine

  • Radiothérapie en phase palliative

    "Si la radiothérapie est un traitement spécifique du cancer, elle constitue aussi un traitement symptomatique, avec pour visée d’améliorer les conditions quotidiennes de la fin de la vie. Il est question de donner un sens pratique, à court terme, à ce qui est proposé, qu’il s’agisse de traiter ou de ne pas traiter."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Thibaud Haaser , Médecin radiothérapeute, CHU de Bordeaux ; doctorant au Département de recherche éthique, université Paris Sud

  • Respecter la singularité de la personne en psychiatrie

    "La fin de vie, en particulier dans le cadre de la « clinique » de la psychose, expose le patient plus encore à l’abandon de par sa vulnérabilité. Son existence, son mode d’être au monde est perturbé, attaqué dans son rapport à l’espace, au temps et à l’autre."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Emmanuel Scicluna , Cadre de santé, Clinique du Moulin Bruz (35), EA 1610, université Paris Sud

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