"La fin de vie, en particulier dans le cadre de la « clinique » de la psychose, expose le patient plus encore à l’abandon de par sa vulnérabilité. Son existence, son mode d’être au monde est perturbé, attaqué dans son rapport à l’espace, au temps et à l’autre."
Publié le : 04/02/2015 | Auteur :
Emmanuel
Scicluna ,
Cadre de santé, Clinique du Moulin Bruz (35), EA 1610, université Paris Sud