"À une époque où les liens affectifs sont si souvent remis en question, où les contours de « la » famille sont de plus en plus flous, à géométrie variable et d’une durée difficilement déterminable, le législateur va-t-il être contraint de « hiérarchiser » les droits de la famille et des proches à être obligatoirement informés et consultés ? Quelle parole sera prioritairement sollicitée et entendue dans cette hiérarchie kafkaïenne, celle d’une mère, d’une épouse ou de la dernière conjointe, de l’enfant biologique avant l’enfant juridique, des enfants d’un premier mariage, ou du second ? "
Publié le : 30/06/2014 | Auteur :
Catherine
Ollivet ,
Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93