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  • Initier une démarche éthique en établissement

    La réflexion éthique en établissement, à la fois démarche collective et individuelle, est un atout majeur dans la prise en charge d'un patient si elle est entamée rapidement, dès l'annonce du diagnostic.

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Elisabeth Quignard , Médecin en gériatrie et soins palliatifs, Réseau régional Champagne Ardenne RéGéCAP

  • L’expérience de la maladie entre perte et gain

    "La maladie neurodégénérative instaure un déséquilibre majeur qui brise de manière plus abrupte que dans les autres maladies chroniques, la naturalité du rapport à soi et aux autres. L’image que s‘en font « les autres », c’est-à-dire ceux qui n’en sont pas eux-mêmes atteints, est encore plus négative et difficile que dans le cas des maladies chroniques plus banales, parce que c’est l’intégrité « personnelle » du malade qui se trouve profondément affectée."

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Philippe Barrier , Professeur de philosophie, Lauréat de l'Académie de Médecine, docteur en sciences de l’éducation, enseignant associé au Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • La maladie, une histoire toujours singulière, une temporalité à inventer

    "L'annonce énonce la maladie, la transmission et parfois le pronostic vital lorsqu'il est en jeu, toute la famille s'en trouvera bouleversée. Le temps de l'annonce est un temps fondamental qui restera gravé dans la mémoire du patient comme un nouveau point de départ, un commencement, l'inauguration d'une vie nouvelle, habitée par la maladie dont maintenant le malade connaît le nom."

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Marie-Hélène Boucand , Médecin MPR, ancien chef de service Hospices civils de Lyon, doctorante, universités Lyon 3 et Paris Sud

  • Reconnaitre l’identité intrinsèque de toute personne malade

    "Comment en conséquence se reconnaître dans sa nouvelle identité d’ « aidant familial », lorsque l’aidé ne sait plus vous situer dans votre histoire commune, confondant le mari avec le père, la fille avec la sœur : « vous n’avez pas vu ma femme ? », demande ce mari désorienté… à sa femme."

    Publié le : 21/10/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Vertus et valeurs à l’hôpital : regard d’un directeur

    "Parler d’éthique hospitalière pour un directeur d’hôpital, c’est poser ce regard singulier sur ce rapport malade/soignant, regard celui dont le métier consiste à diriger, décider, arbitrer, soit en pratique à conjuguer et résoudre en permanence des logiques contradictoires qui le mettent, de fait, au cœur de cette relation malade/soignant"

    Publié le : 06/01/2015 | Auteur : Odile Bodo , Directeur d’hôpital, Département de recherche en éthique

  • La justesse d’un soin digne jusqu’au bout

    "Comment alors adopter cette double fonction, cette qualification qui ferait de moi – comme ce serait le cas aujourd’hui dans les pays du Benelux qui ont dépénalisé l’euthanasie – un tueur potentiel de patients ? Moi qui suis leur soignante en qui ils doivent avoir toute confiance."

    Publié le : 04/02/2015 | Auteur : Sylvie Froucht-Hirsch , Anesthésiste réanimateur, Fondation Ophtalmologique Rothschild, auteur de Le temps d’un cancer – Chroniques d’un médecin malade, Éditions érès

  • Un souci constant d’améliorer le soin

    "Les équipes soignantes avancent à leur rythme : dans un service c’est la mise en place des outils d’évaluation de la douleur pour les patients non communicants, dans un autre l’implantation d’un staff pluridisciplinaire. Persévérer dans cette attitude nécessite de le vouloir, de s’engager dans des formations, mais aussi de décliner une politique d’établissement, des organisations, des interfaces entre les différents professionnels dans les processus de prise en charge au cours desquels des réflexions sur le sens des pratiques existent."

    Publié le : 05/02/2015 | Auteur : Nathalie Vandevelde , Cadre supérieur de santé en hépato-gastroentérologie et référent qualité, Hôpitaux universitaires Saint-Louis, Lariboisière, Fernand Widal, AP-HP

  • Complexité du diagnostic et de la prise en charge des troubles cognitifs : influence des facteurs culturels et du niveau de littératie

    "Les mécanismes d’adaptation sont des phénomènes dynamiques en perpétuelle évolution. Les nouvelles générations de familles migrantes se retrouvent au croisé des représentations et des croyances de leur culture d’origine, et des phénomènes de mondialisation et d’acculturation où le respect traditionnel côtoie l’âgisme et l’individualisme des sociétés occidentales."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Catherine Belin , Neurologue, Unité fonctionnelle Mémoire et Maladies Neurodégénératives, Service de neurologie, CHU Avicenne, AP-HP / Didier Maillet , Psychologue, Unité fonctionnelle Mémoire et Maladies Neurodégénératives, Service de neurologie, CHU Avicenne, AP-HP

  • Informer la personne atteinte par la maladie d'Alzheimer : quelques enjeux

    L’information du malade d’Alzheimer ne peut pas se faire selon une approche dogmatique. Il faut essayer de trouver les clés d’une réflexion permettant de choisir la meilleure voie dans chaque situation rencontrée en tenant compte des réalités de terrain. Si l’horizon est celui de la vérité, le chemin à suivre peut s’en détourner lorsque la connaissance du malade et des enjeux met en évidence les dangers de l’annonce.

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Julien Berthaud , Praticien hospitalier, service de gériatrie, Hôpital de Provins

  • Relation à l’autre et communication : pour la réciprocité d’échanges possibles et féconds

    "Les troubles cognitifs peuvent être invalidants et induire une mise à distance de la personne. Réintroduire la notion de sujet permet de supposer la réciprocité d’un échange possible. Penser cette réciprocité éviterait de céder à la tentation d’exclure toute forme de relation, alors même que les personnes s’en excluent parfois elles-mêmes par leur conscience accrue de leurs difficultés. Nul besoin alors de renforcer davantage le retrait de la personne par nos propres difficultés en retour qui doivent également être prises en considération. Chacun se préservant de l’autre dans ce jeu de considération négative."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Pascale Gérardin , Psychologue clinicienne, CMRR Lorraine, CHU de Nancy

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