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  • L'extension psychologique de la neuropsychologie et son enjeu éthique

    "Un psychologue clinicien peut faire une observation, travailler une plainte cognitive en référence à une réalité psychique et familiale. On sort donc, de fait, de la médecine et de la psychologie pathologique avec les discours neuropsychologiques qui empruntent leurs modèles à des théories physiques comme celle (ancienne) de la cybernétique, celle de l'information ou des neurones formels en réseau."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Philippe Viard , Docteur en psychopathologie clinique, psychologue clinicien en SSR, UCC et USLD, Hôpital Bernard Desplats, Bourganeuf (23400)

  • Lorsque vouloir protéger la personne met en cause sa liberté et son intégrité

    "Sauvegarde de justice, curatelle et tutelle demeurent depuis 2007 les trois mécanismes majeurs de protection juridique. Leurs mises en œuvre, bien que fondées sur les principes de nécessité, de subsidiarité et de proportionnalité, impliquent qu’une altération des facultés mentales ou physiques soit médicalement constatée et avérée."

    Publié le : 11/09/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France / Federico Palermiti , Juriste, chargé de mission Association monégasque pour la recherche sur la maladie d’Alzheimer

  • L’identité à l’épreuve du temps

    "La perte de confiance en soi peut être profonde lorsque l’on présente une altération cognitive, notamment mnésique ou langagière, que l’on devient dépendant et que l’on voit son autonomie mise en péril avec une perte des capacités de prise de décision, des capacités de jugement. La précarité sociale, professionnelle, familiale induite par ces symptômes est très invalidante, venant là encore modifier la propre image de sa place dans la société."

    Publié le : 11/09/2014 | Auteur : Pierre Krolak-Salmon , Neurologue, gériatre, CMRR, CHU de Lyon, université Claude Bernard Lyon 1, Centre des Neurosciences de Lyon - INSERM U1048-CNRS5292

  • « Dès qu’on se sait atteint par cette maladie, on se sait condamné »

    Intervention lue par sa fille dans le cadre de l’université d’été Alzheimer, éthique et maladie neurologiques dégénératives – Montpellier, 8 octobre 2014

    Publié le : 27/10/2014 | Auteur : Mireille Depadt , Philosophe

  • Identité et remaniements

    Texte paru dans le cadre l'Université d'été Éthique, Alzheimer et maladies neurodégénératives 2014 du 6 au 9 octobre à Montpellier

    Publié le : 27/10/2014 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • Face à la souffrance et à la détresse existentielle en fin de vie

    Quelle relation tisser avec un patient face à une détresse existencielle ? Quelles limites fixer à l'autonomie du sujet dans un contexte de vulnérabilité extrême ?

    Publié le : 28/10/2014 | Auteur : Martine Ruszniewski , Psychologue clinicienne, Institut Curie, Paris, membre du groupe de recherche « Décisions et responsabilités en fin de vie », Espace éthique région Ile-de-France

  • Planifier les soins pour promouvoir la santé et la volonté des patients en fin de vie : Une conversation longue et fragmentée…

    "Les acteurs des soins de santé primaires ont un rôle majeur à jouer dans la facilitation de l’accès aux soins palliatifs, mais leur pratique s’est jusqu’alors heurtée dans notre pays au caractère fragmenté et mal coordonné des soins primaires, et à des besoins non négligeables en termes de formation. Ils demeurent cependant le premier contact des patients avec le système de soins, et sont également structurants pour la suite du parcours du patient au sein du système de santé."

    Publié le : 28/10/2014 | Auteur : Sébastien Moine , Médecin généraliste, doctorant en santé publique (Laboratoire éducations et pratiques de santé, EA 3412, université Paris 13), membre du groupe de recherche « Décisions et responsabilités en fin de vie », Espace éthique région Ile-de-France

  • Mourir chez soi

    "Petit à petit l’espace s’est rétréci et le temps s’est allongé, comme pour se mettre à disposition de la mort et lui préparer la place. Chez soi, dans cet espace si intime, on attend la grande inconnue : la mort."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Catherine de Brabois , Directrice de SSIAD, Paris, doctorante, Espace éthique/IDF, université Paris Sud

  • Faire ce qu’il y a à faire

    "Quelques jours plus tard, un lundi matin, je suis rappelé au domicile de monsieur M. Sa femme me dit qu’il refuse de s’alimenter depuis trois jours, tout juste accepte-il de boire. Son état général s’est terriblement aggravé. Visiblement il a décidé d’en rester là."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Bruno Fron , Médecin généraliste, Paris

  • « Tout va bien… je suis là… »

    "Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la surmortalité (+63 %) des conjoints de malades, les 50 % de dépressions avérées des soignants familiaux, les 50 à 60 heures de travail par semaine exclusivement consacrées au malade à domicile. Ce ne sont que des chiffres… Pour moi ce sont des visages."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

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