"J’étais assommé par le coup de bouteille, j’avais un énorme hématome à la tête. On m’avait transporté dans le coin infirmerie. Quand ma mère me vit ouvrir les yeux, elle me souffla à l’oreille : ‘Fais semblant d’être très touché. À partir de maintenant, tu n’entends plus et tu ne peux plus parler. C’est ta seule chance d’en sortir‘."
Publié le : 02/07/2018 | Auteur :
Bruno
Halioua ,
Inserm, Département de recherche en éthique Université Paris-Sud-Paris-Saclay, auteur de Le procès des médecins de Nuremberg, Toulouse, érès, 2018 (réédition)