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  • Défense et illustration de l'éthique

    "C’est précisément parce que nous tenons l'éthique pour beaucoup plus qu’une mode et beaucoup mieux qu’un ornement que nous voudrions ici la défendre, et tenter d’en dire la belle nécessité. Conçue comme vigilance, comme aiguillon, comme inquiétude l’éthique ne nous paraît pas comme chose extérieure au soin mais comme son âme même."

    Publié le : 12/02/2014 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • Éthique et psychopathologie : enjeux de respect et de sollicitude

    "Il y a dans les cas de soin sous contrainte les plus extrêmes une éthique de l’action et une non-éthique de la non-intervention. Respecter, accompagner le désir d’un homme ou d’une femme plongé dans une telle souffrance qu’il n’envisage que le suicide ou l’homicide comme issue à sa souffrance : voilà une attitude qui n’est pas responsable."

    Publié le : 12/02/2014 | Auteur : Philippe Lejoyeux , Professeur de psychiatrie et d’addictologie, université Denis Diderot , Département de psychiatrie et d’addictologie, Groupe hospitalier Bichat-Beaujon, AP-HP

  • Annoncer, informer, communiquer : le sens des mots

    Que nous disent-ils de l’annonce, ces trois mots ? Même si cette dernière fait l’objet d’une récente attention, notre langage conserve les autres, nous mettant à l’abri d’une illusoire simplification. À les suivre tour à tour, on s’aperçoit que chacun trace, pour une tâche qui a l’air identique, des chemins très différents.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • A propos de la dévalorisation par les mots dans la maladie d'Alzheimer

    A la question de savoir si nous avons tendance à utiliser des termes plutôt négatifs, dévalorisants, dans le cadre de l’Alzheimer, plus que dans d’autres circonstances, la réponse est oui. On s’intéressera moins aux usages particuliers dans le cadre du soin, qui peuvent aller de la familiarité excessive à la violence verbale, qu’aux connotations contenues dans le langage officiel lui même, administratif ou médical: c’est-à-dire celui où n’intervient pas une intention personnelle, une réaction affective ou autre.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Éthique et impact des mots sur la personne atteinte d'Alzheimer et son aidant familial

    "L'Éthique, science de la Morale, s'enseigne depuis l'Antiquité en philosophie, sociologie, psychologie, médecine, autant de « voies » qui indiquent à l'homme un chemin vers moins de souffrance, sinon davantage de bonheur. Quand celle-ci fait défaut, elle est cruellement ressentie, en creux. J'ai choisi quelques mots parmi d'autres pour illustrer ce propos, toujours à partir d'entretiens proposés à des familles concernées par la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée."

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Claire Demerliac , Association Alzheimer, Le Havre Pays de Caux

  • Après 23 ans de prison

    "Lors d’un documentaire diffusé en 2006, le réalisateur, Bernard George, s’interrogeait en filigrane : « les prisons, la honte de la République ? » Mon expérience, à rebours des idées reçues, me fait contester ce questionnement et la réponse implicite qui y est formulée."

    Publié le : 28/04/2014 | Auteur : Jean-Marc Quignard , Médecin en milieu pénitentiaire

  • Éthique médicale et médecine générale : une synergie

    "Le développement de l’éthique médicale, comme la réforme du médecin traitant ont contribué à faire évoluer et améliorer la qualité des soins en médecine générale, qui repose néanmoins toujours en 2014 sur une rencontre entre deux personnes dans le contexte d’une relation de confiance, de respect et d’écoute, favorable à une décision médicale partagée."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Marie-Laure Alby , Médecin généraliste, Paris

  • Appeler chacun au questionnement éthique

    "La médecine ne saurait procéder de la seule volonté de puissance ou d’une logique unique de rentabilité, ni faire abstraction du temps long de la relation à l’autre. C’est pourquoi le soin et le prendre soin sont intiment liés."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Alain Cordier , Membre du collège de la Haute autorité de sante (HAS), membre du Comité consultatif national d’éthique, ancien directeur général de l’AP-HP, ancien président du conseil de la CNSA

  • Enjeux éthique des limitations et arrêts de traitements à la phase aigue des accidents vasculaires cérébraux graves

    "Les décisions de LAT dans les situations d’AVC graves n’ont pas fait l’objet d’études spécifiques [...]. Elles sont habituellement justifiées par un pronostic jugé « catastrophique » qui amène à envisager ce que pourrait être un handicap « inacceptable ». Or émettre un jugement sur la valeur de la vie d’un individu pose de nombreuses questions éthiques, tant au niveau individuel qu’au niveau collectif."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Sophie Crozier , Neurologue, praticien hospitalier, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • Élaborer un pacte de soins qui respecte le désir de la personne

    "Notre travail est vain, voire contre-productif, si nous ne parvenons pas à inscrire le patient et sa famille comme sujets des soins, y compris dans les situations extrêmes où la communication est minimale."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Anne-Claire de Crouy , Médecin chef de service de médecine physique et de réadaptation, CMPA, Neufmoutiers

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