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  • Le droit ne définit pas l’éthique, il définit la loi

    "Parce que cette nécessité est apparue au cours de la réflexion bioéthique, on parle aujourd’hui du droit de la bioéthique. Or ce dernier n’existe pas. Le droit ne définit pas l’éthique, il définit la loi."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Le soin comme éthique

    "N’y a t-il pas un grand risque à nous en remettre à des experts dans un monde plus séduit voire trompé par un discours scientiste, le discours sur la morale, où le citoyen n’aurait plus sa place et que l’éthique ne devienne avant tout une « éthique par procuration » ? Nous devons nous interroger sur les justes attentes et les espoirs exprimés ou implicites des patients. Ces derniers, pour la plupart, sont ignorants des grands débats et discours éthiques qui pourraient leur paraître bien éloignés de leurs préoccupations de soignants."

    Publié le : 17/02/2014 | Auteur : Florence Gruat , Directrice des Soins FF, docteur en éthique de l’université Paris Sud, membre du Comité consultatif national d’éthique

  • T comme technologie

    Transcription de l'intervention d'Armelle Debru au colloque des 2 et 3 décembre 2011, Maladie d'Alzheimer et nouvelles technologies. Cette intervention fait le point sur les implications d'éthique et d'usage des mots du domaine technologie : télé-médecine ou télé-surveillance, quelle place pour une prise en charge éthique ?

    Publié le : 02/12/2011 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • P comme "placement"

    "Lorsqu’il s’agit d’objets, on les range, on les pose, on les place et déplace à sa guise. Mais pour les personnes, la même chose ne nous dit rien de bon. On ne parle de placement qu’en vue d’une institution, en quarantaine, en garde à vue."

    Publié le : 27/02/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Le sens des mots : "domicile" et "intime"

    "Le terme de "domicile", qui se répand si facilement et de si bonne foi, n’est qu’une désignation bien extérieure, commode et administrative. Domicile appartient à celui de l’administration, comme l’adresse qu’on inscrit sur le formulaire, ou le « lieu d’habitation ». Rien de commun avec le « chez soi »"

    Publié le : 27/02/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • La transgression, la norme, l'éthique

    "Le véritable enfermement sur soi vient davantage d’un sentiment d’insularité, né de l’incompréhension assez générale que semble susciter notre soudaine chute dans la maladie chronique ; né, plus encore que de son constat, de la peur qu’engendre en nous cette incompréhension, qui nous fait sans doute exagérer son importance."

    Publié le : 07/04/2014 | Auteur : Philippe Barrier , Professeur de philosophie, Lauréat de l'Académie de Médecine, docteur en sciences de l’éducation, enseignant associé au Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • L’assentiment fait son entrée dans le langage de la bioéthique

    "Si une personne n’est pas estimée en mesure de donner un « consentement libre et éclairé », quelle notion peut-on solliciter du moins qui lui donne un espace d’expression reconnu et remplisse le vide entre le tout ou rien? Car l’incapacité a souvent des degrés, des moments, des formes variables."

    Publié le : 03/12/2013 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Diagnostiquer précocément... dans l’intérêt des malades ?

    Et si l'intérêt du diagnostic précoce était moins à chercher pour la personne malade que pour les personnes qui l'entourent, ses "aidants-aimants" ?

    Publié le : 09/10/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Psychiatrie auprès des personnes âgées : un baromètre pour l’éthique

    "La personne âgée elle-même peut ouvrir à une vision différente sur une évolution qui n’est pas toujours naufrage, mais autre. Elle nous apprend qu’elle est toujours identique à elle-même mais en pleine évolution vers quelque chose que nous ne connaissons pas, la mort."

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • L’oubli dans la Maladie d’Alzheimer : le vécu du patient

    Comprendre comment le sujet atteint de maladie d’Alzheimer vit ses oublis est souvent difficile. Si certains sujets sont douloureusement conscients de leurs troubles, la méconnaissance ou la sous-estimation du trouble liées à l’anosognosie, l’atteinte du langage, la perte du fil du discours, font qu’il est difficile de saisir ce que le patient ressent lui-même.

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP / Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

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