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  • Hôtel des deux mondes

    "Fort intéressé par la médecine, une discipline qu’il aurait pu faire sienne s’il n’avait exercé ses talents d’écriture, l’auteur endosse en quelque sorte la blouse blanche pour se transformer en médecin des âmes. Après tout n’est-il pas ce docteur S (interprété par Odile Cohen) qui semble présider aux destinées des passants transitant par ce no man’s land ? Mi-gardien des âmes, mi-médecin, mi philosophe, le docteur S orchestre leurs déplacements sans rien maîtriser. Est-elle usurpatrice, manipulée ou tout simplement impuissante ?"

    Publié le : 29/03/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • Le progrès a-t-il encore besoin de nous ?

    L’idée de progrès, qui était triomphante il y a cent ans, chemine aujourd'hui sur une périlleuse ligne de crête : d’un côté, les techno-prophètes nous promettent une accélération illimitée des progrès techniques amenant à la disparition de l’espèce humaine, supplantée par les machines ; de l’autre, les limites écologiques nous rappellent à notre finitude et aux impasses du progrès technologique, qui n'est plus forcément synonyme de progrès humain. Sommes-nous donc arrivés aux limites de l’idée de progrès, ou bien devons-nous inventer un progrès à l’âge des limites ? C’est la question centrale du débat qui a eu lieu entre philosophes, historiens et praticiens du soin hospitalier lors de l'une des « Conversations éthique science et société », le 6 juin 2017, à Paris, à l'initiative d'Espace Éthique Île-de-France.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Vers une pratique médicale 100% à la carte ?

    Naturopathie, phytothérapie, acupuncture, hypnose, ostéopathie, homéopathie… Les médecines non-conventionnelles sont de plus en plus utilisées dans les soins, comme pratiques préventives ou curatives. Au-delà de leur reconnaissance et de leur encadrement, pourrions-nous imaginer une pratique médicale entièrement à la carte ? Cette question était au cœur du dialogue qui s'est tenu, le 15 mars, entre Alexia Jolivet, responsable de l’Observatoire de l’Espace éthique Île-de-France et maître de conférence en Sciences de l’Information et de la Communication, et Albert Ogien, directeur de recherches au CNRS et directeur de l’Institut Marcel Mauss de l’EHESS.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Le tout-médicament est-il une fatalité ?

    Dans sa campagne « Les médicaments, c’est pas n’importe comment… », L’Assurance maladie d’Alsace affirme que « 150 000 personnes se rendent malades tous les ans avec les médicaments ». De plus en plus de patients font chorus avec les campagnes de santé publique et les acteurs politiques pour dire que le tout-médicament n’est plus la solution. Malgré cette prise de conscience, la surconsommation de médicament reste la règle en France, apportant son lot de mésusages des traitements médicaux parfois accompagnés d’effets indésirables. Le tout-médicament est-il une fatalité en France ou peut-on inventer un autre modèle de médication ? Cette question était au cœur du dialogue qui s'est tenu le 24 avril 2017 entre Sebastian J. Moser, chercheur en sociologie à l’Université Paris-Sud et à l’Espace éthique Île-de-France, et Anne Vega, anthropologue et ethnologue à l’université Paris Nanterre.

    Publié le : 19/07/2017 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Une concertation nationale pour affirmer ensemble les valeurs de la bioéthique

    "Il ne s’agit pas tant de nous satisfaire sans discernement des avancées scientifiques et des innovations biomédicales — elles représentent certes des espoirs pour les personnes malades et leurs proches — que de nous demander dans quelle mesure elles contribuent à l’accès le plus justifié et le plus juste aux biens de santé."

    Publié le : 19/10/2017 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • La bioéthique n’a pas l’éthique qu’elle mérite

    Intervention donnée dans le cadre du workshop « Quelle gouvernance pour la bioéthique ? » organisé le 22 février 2018 dans le cadre des États généraux de la bioéthique

    Publié le : 05/03/2018 | Auteur : Mark Hunyadi , Professeur de philosophie, Université catholique de Louvain, Institut supérieur de philosophie

  • Qu’est-ce qu’une vie digne d’exister ? De la question des limites et des normes au seuil de l’humanité.

    Dans la cadre de la révision de la loi relative à la bioéthique, qui aura lieu en 2018 et 2019, l'Espace éthique/IDF propose une série de textes, réflexions et expertises pour animer le débat public. Chaque intervention visera à éclairer un point, une perspective ou un enjeu des révisions de la loi. Cette dixième contribution aborde la qualité de la relation de soin, notamment dans le cadre des débats autour de la fin de vie.

    Publié le : 06/03/2018 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Adapter les soins, apprivoiser l’incertitude : un travail collégial et collaboratif

    "Les décisions prises au décours d’une procédure collégiale ne préjugent pas d’une évolution univoque : elles nécessitent adaptation et humilité."

    Publié le : 09/03/2017 | Auteur : Danièle Lafaye , Cadre de santé Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Sylvie Preuilh , Inifirmière Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux / Bernard Paternostre , Médecin Equipe Mobile – Service d’Accompagnement et de Soins Palliatifs – CHU de Bordeaux

  • Récit d’une lutte pour un arrêt de dialyse

    "Ici, qu’il s’agisse du médecin traitant plutôt passif devant la demande mais surtout ignorant de ces questions ou des néphrologues refusant la discussion, aucun d’entre eux n’a été en mesure de délivrer au patient « une information loyale, claire et appropriée » prévue par l’article 35 du code de déontologie. En raison d’un déficit de formation ?"

    Publié le : 09/03/2017 | Auteur : Nathalie Nisenbaum , Médecin coordinateur en EHPAD, Paris

  • Enjeux des limitations et arrêts de traitements

    "Parfois, certains refus resteront inexpliqués, énigmatiques. Le médecin ne comprendra jamais et se demandera toujours ce qui a pu motiver ce refus, intimement convaincu qu’il y a quelque chose d’incompréhensible derrière cette posture d’un malade qui a décidé « de ne se donner aucune chance ». Et inversement, ce dernier ne comprenant pas l’attitude du médecin cherchant à le convaincre."

    Publié le : 10/03/2017 | Auteur : Pierre Basset , Médecin responsable de l’unité douleur et soins palliatifs, hôpital de Chambéry

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