"Car s’il s’agit de faire de la médecine, de traiter de la même façon, par des protocoles comme en oncologie, en cardiologie, par des stratégies thérapeutiques, une crise « de violence » nécessite d’être maîtrisée, d’être médiquée, de la même façon que l’on attache un malade inconscient pour qu’il n’arrache pas sa perfusion, on va attacher un malade psychiatrique le temps qu’il se calme. Aucune nécessité de tenter de le contenir en le maintenant physiquement, en le touchant, en lui parlant, en restant auprès de lui."
Publié le : 15/11/2016 | Auteur :
Paul
Machto ,
Psychiatre honoraire des hôpitaux, Psychanalyste