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  • Assistance médicale au suicide : quelle position pour le psychiatre ?

    "Comme il est du devoir de n’importe quel médecin de soulager, il est du devoir du psychiatre de reconnaître la dépression et de la traiter pour soulager son patient."

    Publié le : 05/02/2015 | Auteur : Françoise Chastang , Psychiatre, CHU Côte de Nacre, Caen, Espace de réflexion éthique de Basse-Normandie, EA 1610, université Paris Sud / Michel Walter , Professeur des universités, psychiatre, CHU, Brest / Cécile Omnes , Psychiatre, Centre hospitalier Charcot, Plaisir (78), Groupement d’études et de prévention du suicide (GEPS) / Jacques Vedrinne , Psychiatre, université de Lyon

  • Considérations éthiques du soignant face à l'enfant qui peut mourir

    "Un service de pédiatrie qui soigne des enfants qui peuvent mourir n’est pas forcément triste. Car les enfants peuvent également y guérir et si la mort y est présente, elle n’y fait pas forcément la loi. Les soignants qui y travaillent ont, en général, choisi de le faire mais ceci ne les préserve pas des risques d’usure. Nous présenterons à quelles conditions un tel service peut rester un lieu vivant et humain pour les enfants, leurs parents et leurs soignants."

    Publié le : 16/07/2003 | Auteur : Daniel Oppenheim , Psychanalyste et psychiatre

  • De la dignité des soins psychiatriques

    "Laisser entendre que la contrainte en psychiatrie est la règle et le consentement l’exception, voilà qui renvoie à des pratiques stigmatisantes, autant pour les patients que pour les soignants."

    Publié le : 30/09/2013 | Auteur : Georges Berthon , Psychiatre, praticien hospitalier

  • Enjeux et incertitudes du soin

    "Malgré les formations, quand la démence franchit le seuil de leur unité, le raisonnement des soignants n’est plus le même. Les repères se fragilisent. On devient beaucoup plus frileux. L’approche du sujet désorienté se fait sous le signe de la méfiance. Et quand la démence s’appelle Alzheimer, la simple prononciation du mot souligne déjà une pathologie complexe et étrangère au service, annonciatrice de bien des problèmes."

    Publié le : 11/10/2007 | Auteur : Béatrice Defalt , Cadre infirmier, Hôpital Broca, AP-HP

  • Euthanasie pour souffrance psychique, errance mortelle

    “Dialoguer” avec le patient sur un prétendu “désir de mort” n’est pas une voie à suivre, pour la simple raison qu'il ne s'agit pas d'un “thème” à aborder, mais d'une tendance à endiguer, contre laquelle le sujet ne peut se protéger suffisamment.

    Publié le : 17/07/2023 | Auteur : Geert Hoornaert , Psychologue clinicien, psychanalyste membre de l'Association Mondiale de Psychanalyse

  • Humaniser et se parler

    Publié le : 01/05/2016 | Auteur : Bernard Meile , Membre d'Advocacy-France

  • La construction de soins dans la schizophrénie

    Publié le : 26/09/2008 | Auteur : Aymeric Reyre , Psychiatre, service de psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent, de psychiatrie générale et addictologie, Hôpital Avicenne, AP-HP

  • L’annonce du diagnostic de schizophrénie

    "Comme la plupart des spécialités médicales, la psychiatrie est actuellement confrontée à la nécessité et au devoir d’informer de façon loyale les patients. L’information et l’annonce du diagnostic posent cependant, en matière de schizophrénie, des problèmes particuliers. Elles se heurtent à des réticences tenant à des facteurs plus ou moins pertinents."

    Publié le : 15/05/2006 | Auteur : Béatrice Laffy-Beaufils , Chef du service de Psychiatrie, hôpital Corentin Celton, AP-HP

  • L’exigence de soigner en psychiatrie

    Publié le : 26/09/2008 | Auteur : Sophie Rouillard , Cadre de santé, service de psychiatrie, Centre hospitalier Loire-Vendée-Océan, Challans (85), Département de recherche en éthique, Université Paris-Sud 11

  • L’oubli dans la Maladie d’Alzheimer : le vécu du patient

    Comprendre comment le sujet atteint de maladie d’Alzheimer vit ses oublis est souvent difficile. Si certains sujets sont douloureusement conscients de leurs troubles, la méconnaissance ou la sous-estimation du trouble liées à l’anosognosie, l’atteinte du langage, la perte du fil du discours, font qu’il est difficile de saisir ce que le patient ressent lui-même.

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP / Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

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