"La personne morte va, par sa générosité, permettre à plusieurs malades de revivre. Les taux de guérison sont aujourd’hui considérables et le seul important échec, statistiquement, n’est plus la complication chirurgicale ou le rejet du greffon mais « l’absence de greffe », c’est-à-dire la mort du patient inscrit sur la liste d’attente et n’ayant pas pu bénéficier d’une greffe en raison de la pénurie d’organes. « Pénurie » véritable ou organisation défectueuse ?"
Publié le : 04/06/2015 | Auteur :
Jean-Louis
Touraine ,
Député de la 3e circonscription du Rhône