Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 1 à 10 sur un total de 23.
  • La démence, cause d'exclusion sociale

    "Le malade est déqualifié, il n'est plus possible de l'entendre : en train de sortir de son propre esprit, ou déjà hors de lui, le malade n'a plus droit à la parole, avant même que celle-ci ne lui manque vraiment. Il n'a plus le droit de décider ni de choisir et, que ce soit avec bienveillance (" pour son bien ") ou malveillance, il est, au mieux traité en petit enfant, au pire comme une chose, voire comme un coupable incarcéré."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

  • Reconnaître l’autre

    Publié le : 12/06/2009 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Partager notre espoir

    Témoignage d'une mère accompagnant son fils, dans un état végétatif persistant. Elle revient dans cet article sur la spécificité de l'accompagnement qui se lie dans ce type de situation.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Claude Girault , Mère d'Alban, malade en état végétatif persistant à l'hôpital Maritime de Berck, AP-HP

  • Prise en charge psychologique en situation extrême : la personne atteinte de sclérose latérale amyotrophique (SLA)

    Témoignage d'une psychologue clinicienne sur les spécificités de l'accompagnement psychologiques de l'accompagnement des personnes atteintes de sclérose latérale amyotrophique (SLA) et de leurs proches.

    Publié le : 26/09/2008 | Auteur : Hélène Brocq , Psychologue clinicienne, Service de médecine physique et réadaptation du CHU de Nice, Chargée de cours à l’Université de Nice-Sophia-Antipolis

  • Questionnement sur la vulnérabilité des personnes polyhandicapées et de leurs accompagnateurs

    Réflexion autour de la vie d’un enfant polyhandicapé et de tous les acteurs l’accompagnant en 3 volets : la vie familiale, la vie en établissement, les relations avec les soignants.

    Publié le : 31/07/2009 | Auteur : Laurence Deseigne , Présidente de l’A.S.S.E.P.H (ASSociation d'Entraide pour les Personnes Handicapées), administratrice Groupe Polyhandicap France

  • La quête du chez soi chez le sujet âgé atteint de la maladie d’Alzheimer

    Publié le : 02/09/2009 | Auteur : Céline Le Bivic , Psychologie clinicienne, hôpital Emile-Roux, AP-HP

  • Éthique et handicap : enjeux de fraternité

    Publié le : 31/07/2009 | Auteur : Anne Dupuy-Vantroys , Diplômée de l’Espace éthique IDF

  • "Dans chaque jour plus de vie que d’amertume"

    "Ce que je ne veux pasn, c’est que l’on disqualifie Philippe sous prétexte de m’aider à me déculpabiliser. Que l’on me dise à quel point il va devenir insupportable de vivre avec lui et donc qu’il sera normal que moi, sa femme, j’accepte qu’on le mette dans un établissement sans doute contre son gré où il sera privé de sa liberté."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Mina Blanchard , Proche d'une personne atteinte par la maladie d'Alzheimer

  • Maladie d'Alzheimer, vivre autrement, vivre différemment

    "Il est certain que le changement profond auquel la personne malade et son entourage vont être soumis relève d’un défi, d’un combat héroïque qui doit être encouragé, soutenu et accompagné. Comment alors penser un soutien qui puisse étayer une identité fortement fragilisée par les pertes successives ?"

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Judith Mollard-Palacios , Experte psychologue, Union France Alzheimer

  • Vincent et les autres, souvenirs d'un médecin

    "Les jeunes apprentis médecins que nous étions en 1964 n’aimions pas beaucoup être affectés dans le service, et ce pour une raison simple : ces comateux n’étaient pour ainsi dire jamais malades (quelque fois une diarrhée ou un début de bronchite, sans plus). Or l’ambition d’un carabin, c’est justement [d'apporter] la preuve de notre capacité médicale en formation. Cependant la question ne se posait pas d’arrêter les soins de nursing et la nutrition, car il était évident pour tous que ces comateux étaient des « vivants »."

    Publié le : 24/07/2015 | Auteur : Patrick Defontaine , Médecin retraité, Épinac (71360), spécialiste en anesthésie-réanimation et toxicologie clinique

  • Pages