"Mesurer le “bien mourir” dans nos hôpitaux relève presque de l'absurde car il faudrait pouvoir parler suffisamment à l'avance avec le patient de ses souhaits profonds quant à la façon d'organiser sa fin de vie, de préparer et de conduire sa mort."
Publié le : 17/06/2003 | Auteur :
Michel
Bilis ,
Directeur de l’Inspection et de l’Audit, AP-HP