"Il convient donc de veiller, on l’aura compris, à limiter les atteintes à la liberté à ce qui est strictement utile. À travers les choix opérés en matière d'antiterrorisme, on perçoit aussi l'intérêt qu'il y a pour une société à être aussi consensuelle que possible pour gérer les crises les plus graves. Il paraît important que les citoyens se sentent associés aux grandes options « politiques » qui les concernent directement."
Publié le : 23/03/2009 | Auteur :
Jean-Claude
Magendie ,
Premier président de la cour d’appel de Paris