"Lors de la seconde vague, il ne s’agissait plus alors de « rien pour tous » égalitariste, mais de droits à géométrie variable, un peu, beaucoup ou totalement pour certains. Sous la pression des témoignages, des cris de colère des proches, des douleurs insurmontables des autres, les directives descendantes ont évolué, introduisant quelques timides ouvertures à l’exercice raisonnable de quelques droits. Mais des droits toujours conditionnés à l’évaluation du médecin du service et sous la responsabilité du directeur de la structure."
Publié le : 18/03/2021 | Auteur :
Catherine
Ollivet ,
Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93