"Oui, mon quotidien est une charge mentale quasi-permanente, voire permanente tout court. De la décision à l’accomplissement de ces gestes substitués, je pourrai très bien tout laisser faire à mes aidantes et ne me soucier de rien, être nourrie, lavée, habillée, maquillée. Une grande solution de facilité selon moi. Un non-désir de se prendre en charge et un refus d’être pleinement responsable. Bref, ce n’est pas comme ça que je vois les choses et surtout ce n’est pas comme ça que je forme ma vie !"
Publié le : 02/04/2021 | Auteur :
Félicie
Gatinet-Pénau ,
Écrivain, personne vivant avec un handicap