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Loi fin de vie : Sédation profonde et continue : distinguer le « laisser mourir » du « faire mourir »
Rencontre organisée à la Mercredi 1er juin à la Mairie du 4e arrondissement de paris
Par: Espace éthique/IDF /
Publié le : 06 juin 2016
Charles JOUSSELIN, Responsable de l’équipe mobile d’accompagnement et de soins palliatifs, CHU Bichat-Claude Bernard, AP-HP, président de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs
Sylvain POURCHET,Médecin de soins palliatifs à domicile, Paris
Mercredi 1er juin, de 18h30 à 20h30
Lieu : Mairie du 4e arrondissement de paris, 2 place Baudoyer, 75004 Paris
La sédation profonde et continue, jusqu’alors pratiquée dans des conditions prescrites à titre exceptionnels, relève aujourd’hui des « nouveaux droits » reconnus aux malades ainsi qu’aux personnes en fin de vie. Il s’agit d’une des évolutions les plus discutées dans l’approche de la loi du 2 février 2016, tant elle peut faire apparaître à certains le risque d’une dérive vers la pratique de l’euthanasie. Entre la sédation pratiquée en unité de soins palliatifs, de manière proportionnée et réversible afin d’atténuer une douleur et d’apaiser une souffrance, et la sédation profonde et continue, à la demande de la personne, que marque cette évolution et quelles en seront les conséquences du point de vue des valeurs du soin ?