Notre Newsletter
    Vous affichez les résultats de 1 à 10 sur un total de 15.
  • Éthique de l’entretien infirmier psychiatrique face à la tentation de mort

    Si l’entretien infirmier diffère peu d’un entretien médical ou psychothérapeutique, il présente néanmoins quelques particularités, ne serait-ce que par les conditions dans lesquelles il s’effectue. Plus rarement mené dans un bureau qu’au chevet du patient, ce soin oral est souvent le premier contact du patient avec la psychiatrie.

    Publié le : 13/01/2010 | Auteur : Loëva Guichard , Infirmière en psychiatrie, titulaire d’un master Éthique, science santé et société, université Paris-Sud 11

  • Pratiques et rituels en maternité

    "Au cours des deux dernières décennies, des travaux de psychiatres et de psychanalystes sur le deuil périnatal, ont appris aux équipes de maternité que l’impossibilité de voir l’enfant mort, de l’inhumer et d’effectuer les rites funéraires, l’absence de preuves d’existence de cet enfant, risque d’interrompre le travail de deuil au stade du déni, de conduire à l’absence de deuil conscient et d’aggraver les troubles psychiatriques (psychose, dépression du post-partum) observés chez les femmes ayant vécu un deuil périnatal."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Maryse Dumoulin , Médecin en pathologie maternelle et fœtale à la Maternité Jeanne de Flandre au CHRU de Lille (59), maître de conférences à la Faculté de Lille II en Ethique et Santé Publique, Présidente de l’association « Nos Tout-Petits » / Anne-Sylvie Valat , Obstétricienne, CHRU de Lens

  • Conditions et pratiques du don d’organes à l’hôpital

    Selon la manière dont est conduit l’entretien, la famille peut refuser le don d’organes pour son proche en état de mort encéphalique (terme habituellement employé : toutefois c’est bien de la mort dont il s’agit). Au cours de cet entretien, tout est important : le lieu, le comportement des personnels hospitaliers, la manière de parler, de se comporter.

    Publié le : 20/06/2013 | Auteur : Chantal Bicocchi , Cadre supérieur infirmier, coordination prélèvements d’organes, hôpital Beaujon

  • Attentes de la personne expert et acteur de sa maladie

    Témoignage d'une personne atteinte par une maladie de Crohn, qui aborde son ressenti, les bases nécesssaires d'un bon partenariat patient/malade et insiste sur l'importance pour la personne atteinte par la maladie de se considérer activement comme acteur et expert de sa propre situation.

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Corinne Devos , Bénévole représentant la région Ile-de-France, Association François Aupetit

  • Définir un handicap en anténatal : les complexités

    "La mesure du temps change durant neuf mois. L'urgence est réelle, mais se résume plutôt à la nécessité d’accéder à un moment particulier de disponibilité intellectuelle et affective permettant d’entamer un dialogue sur le handicap. Par sa complexité et ses enjeux, la discussion qui va avoir lieu nécessite que la phase de choc soit passée, pour le couple aussi bien que pour le médecin, afin que chacun s’ouvre à la compréhension et la réflexion"

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Véronique Mirless , Obstétricienne, service de Médecine foetale, Institut de Puériculture Brune, Paris

  • Réalités de l’annonce difficile : Un observateur de la relation médecin/malade

    Analyse de situations complexes de diagnostics létaux, dans un service de gastroentérologie pancréatologie. Dans ce contexte particulier d'annonce de la maladie grave, avec un pronostic vital fréquemment engagé dans des délais courts, quels type de liens se nouent entre le médecin et le malade ? Quel rapport, quels échanges, quelles "attaches" ?

    Publié le : 20/04/2009 | Auteur : Bénédicte Chanal , Psychologue clinicienne, service de gastroentérologie/pancréatologie, Hôpital Beaujon, AP-HP

  • Pourquoi et comment donner une place à l’annonce diagnostique au sein d’une consultation mémoire ?

    Face à la démarche d’objectivation des signes menant à l’établissement du diagnostic, un autre travail se construit, trvail de rencontre avec le malade et sa famille, dans l’incontournable prise en considération de ses ou de leurs attentes, de leurs représentations de ce qui se produit, de la manière dont il /ils peuvent s’approprier des éléments de cette démarche afin de trouver, pour eux-mêmes, et dans leur singularité un aménagement qui permette de vivre avec leurs difficultés.

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Bruno Le Dastumer , Praticien hospitalier / Clara Mure-Petitjean , Centre Mémoire Groupe hospitalier Sainte-Périne - Rossini - Chardon, AP-HP

  • La performance médicale ne s’inscrit jamais que dans le cadre de vies singulières

    Publié le : 12/01/2009 | Auteur : Vincent Meininger , Professeur de médecine, Fédération des maladies du système nerveux. groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, Paris

  • Sida : des soins intégrés

    "Comment s’y prend-on pour aborder et accompagner les derniers jours des personnes malades avec lesquelles, dans les services de soins traditionnels, on éprouve tant de difficultés ? Avec les patients, mais aussi avec les familles, avec le mythe de la morphine, avec la volonté parfois forcenée de certains médecins de se battre et de faire reculer les limites de la maladie… "

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Nadine Balcon , Cadre supérieur infirmier, hôpital Rothschild, AP-HP

  • La maladie, une histoire toujours singulière, une temporalité à inventer

    "L'annonce énonce la maladie, la transmission et parfois le pronostic vital lorsqu'il est en jeu, toute la famille s'en trouvera bouleversée. Le temps de l'annonce est un temps fondamental qui restera gravé dans la mémoire du patient comme un nouveau point de départ, un commencement, l'inauguration d'une vie nouvelle, habitée par la maladie dont maintenant le malade connaît le nom."

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Marie-Hélène Boucand , Médecin MPR, ancien chef de service Hospices civils de Lyon, doctorante, universités Lyon 3 et Paris Sud

  • Pages