"Elle m’a alors demandé si elle avait le temps de rentrer chez elle pour prendre quelques affaires. Elle voulait être présente, à ses côtés, pour le dernier instant. Je ne pouvais pas lui répondre, nul ne connaît l’heure. Je lui ai simplement dit que son mari allait mourir et qu’à ma connaissance, pour des raisons qu’on n’explique pas, la plupart du temps les personnes meurent au moment où le proche s’absente."
Publié le : 17/07/2023 | Auteur :
Christine
de Gouvion Saint Cyr ,
Bénévole d’accompagnement, administratrice de la SFAP, vice présidente de l’association de bénévoles Être-là Grand Paris