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  • Attentes de la personne expert et acteur de sa maladie

    Témoignage d'une personne atteinte par une maladie de Crohn, qui aborde son ressenti, les bases nécesssaires d'un bon partenariat patient/malade et insiste sur l'importance pour la personne atteinte par la maladie de se considérer activement comme acteur et expert de sa propre situation.

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Corinne Devos , Bénévole représentant la région Ile-de-France, Association François Aupetit

  • La maladie chronique : un événement de vie

    Comment comprendre la maladie grave comme événement "intime", incompréhensible sans prise en compte de l'histoire de la personne ? Comment concevoir une prise en charge qui permette une vie, et non une simple survie, à la personne touchée par la maladie ?

    Publié le : 10/04/2009 | Auteur : Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

  • Quelle démarche palliative initier en réanimation ?

    "La prise en charge des patients dans un environnement très technologique ne s’oppose en rien à ce qu’ils puissent bénéficier des dispositions de l’article premier de la loi du 9 juin 1999 et de l’article L. 1110-10 du code de la santé publique, introduit par la loi du 4 mars 2002, explicitement cité dans quatre des quinze de la récente loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie."

    Publié le : 17/11/2005 | Auteur : Jean-Michel Boles , Service de réanimation médicale et urgences médicales, hôpital de la Cavale Blanche –CHU de Brest ERCS « Éthique, professionnalisme et santé », département de sciences humaines et sociales, faculté de Médecine et des Sciences de la Santé, Université de Br

  • Éthique de l’entretien infirmier psychiatrique face à la tentation de mort

    Si l’entretien infirmier diffère peu d’un entretien médical ou psychothérapeutique, il présente néanmoins quelques particularités, ne serait-ce que par les conditions dans lesquelles il s’effectue. Plus rarement mené dans un bureau qu’au chevet du patient, ce soin oral est souvent le premier contact du patient avec la psychiatrie.

    Publié le : 13/01/2010 | Auteur : Loëva Guichard , Infirmière en psychiatrie, titulaire d’un master Éthique, science santé et société, université Paris-Sud 11