En somme, l’incertitude et le doute restent probablement les seules boussoles raisonnables de l’arrêt des thérapeutiques en réanimation chez ces patients souvent jeunes traumatisés, sans maladie sous-jacente, sans directive anticipée ni personne de confiance désignée.
Publié le : 07/07/2023 | Auteur :
Anne-Claire
de Crouy ,
Médecin chef de service de médecine physique et de réadaptation, CMPA, Neufmoutiers
/
Jonas
Pochard ,
Médecin Anesthésiste Réanimateur, département d’Anesthésie-Réanimation, Hôpital Bicêtre - APHP – Université Paris Saclay