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  • Qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ?

    "La question « qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ? » ne demande pas qu’est-ce que nous avons à en dire mais que dit-elle de nous, individuellement et socialement. La question est celle alors du malade dans la maladie et non plus de la maladie sans le malade. Elle n’est plus question de physique mais d’éthique et de métaphysique."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Jean-Philippe Pierron , Philosophe, Chaire Valeurs du soin, Lyon 3

  • L’annonce anticipée : interroger les intentions et les conséquences éthiques

    "Notre système nerveux est riche de plus de 80 milliards de neurones. Les maladies dites dégénératives évoluent dans cette richesse cellulaire bien longtemps avant de devenir cliniquement décelables. C’est là tout le drame de l’impuissance curative des neurologues. Nos traitements arrivent beaucoup trop tard."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Nadine Le Forestier , Neurologue, Centre SLA Ile-de-France, docteur en éthique médicale, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • Qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ?

    "La question « qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ? » ne demande pas qu’est-ce que nous avons à en dire mais que dit-elle de nous, individuellement et socialement. La question est celle alors du malade dans la maladie et non plus de la maladie sans le malade. Elle n’est plus question de physique mais d’éthique et de métaphysique. L'enjeu n'y est plus de connaissance mais de reconnaissance."

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Jean-Philippe Pierron , Philosophe, Chaire Valeurs du soin, Lyon 3

  • La maladie du temps

    Vidéo est extraite de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société 2012

    Publié le : 21/03/2012 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • Dossier thématique de la Fondation Médéric Alzheimer : cultures, diversités, identités

    Un dossier thématique de la Fondation Médéric Alzheimer, publié le 15 mai 2014

    Publié le : 05/06/2014 | Auteur : Fondation Médéric Alzheimer

  • La longue quête de l’impossible autonomie

    "De l’enfant au vieillard en passant par le handicapé, le seul mot d’ordre de nos jours semble être de (re)devenir autonome, c’est-à-dire de ne plus dépendre des autres. Injonction pour le moins paradoxale dans la mesure où l’indépendance totale est à l’évidence une fiction. Fût-elle même possible qu’elle ne serait guère désirable, car qui voudrait réellement vivre comme s’il était seul au monde ?"

    Publié le : 06/11/2009 | Auteur : Yannis Constantinidès , Professeur agrégé et docteur en philosophie

  • Où ai-je la tête ? Alzheimer, dépendance et vulnérabilité

    Un colloque organisé le 20 septembre 2011, en partenariat avec FONDAPOL au Ministère de la Santé, Paris

    Publié le : 12/12/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Quelle politique pour les personnes en situation de handicap cognitif ?

    La maladie d'Alzheimer est encore souvent perçue comme une conséquence inévitable du vieillissement. Parler de "maladie" a, de ce point de vue, constitué un changement important : le fatalisme n’était plus de mise ; un effort de recherche était nécessaire. Il devenait concevable de soigner la maladie, ou à défaut de retarder sa survenue ou de ralentir son évolution. Sans revenir sur ces acquis, il convient aujourd’hui d’enrichir ce paradigme...

    Publié le : 25/11/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • Anticiper les devoirs créés par la possibilité d'un diagnostic plus précoce

    Si elle ne veut pas avoir systématiquement un temps de retard sur les avancées de la science, la réflexion éthique ne doit-elle pas essayer d’anticiper ces avancées ?

    Publié le : 20/09/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • « Diagnostic précoce » : le droit de savoir a-t-il toujours un sens ?

    Les avancées biomédicales confèrent à nos sociétés un pouvoir d’anticipation sans précédent. À ce pouvoir de savoir qui n’implique pas toujours – loin s’en faut – un pouvoir d’agir, correspondrait un «droit de savoir (et de ne pas savoir)».

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

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