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  • L'homme face à la mort : à propos de ses passions démesurées

    Le deuil comme "bagarre" sans concession entre pulsions de mort et pulsions de vie, bagarre entre le renoncement apaisant de la mort et cette vie tumultueuse où le sublime côtoie la souffrance, où le bien et le mal marchent main dans la main, où nos passions nous feraient perdre la raison, pour mieux la retrouver ensuite

    Publié le : 02/09/2010 | Auteur : Véronique Rouette-Normand , Kinésithérapeute, Bondy, auteur de Urgence absolue. Ultime combat pour la vie, Éditions Vuibert

  • Réflexions sur la tentation de créer un droit à choisir sa mort

    Publié le : 10/02/2011 | Auteur : Alexis Burnod , Médecin urgentiste / Bernard Devalois , Médecin responsable de l’unité de soins palliatifs, centre hospitalier de Pontoise

  • Augmenter la puissance d’exister en fin de vie, ou comment préserver la dignité du mourant

    Provoquer la mort d’autrui, fût-ce à sa demande, ne lui rend pas sa dignité. Comment rendre quelque chose à quelqu’un qui n’existe plus ? De la même façon, pourquoi euthanasier une personne si sa fin de vie est digne encore d’être vécue ? Parce qu’elle le demande, dira-t-on, et qu’elle veut absolument éviter qu’elle ne devienne indigne. Mais quelles sont les limites de ce raisonnement ?

    Publié le : 10/01/2012 | Auteur : Eric Fourneret , Docteur en philosophie

  • La clinique en médecine : alliance des sens, de la raison et de l'humanisme

    "Grâce à l'examen clinique, le médecin appréhende l'homme dans le cadre élargi d'une anthropologie générale évitant les écueils réductionnistes du biologisme et du sociologisme, ou scientistes de la version moderne du positivisme. Le corps ne peut être délivré de ses maux à partir de lui seul, et il est nécessaire de dépasser le fonctionnement de la machine corporelle pour conquérir l'homme dans sa globalité et son environnement."

    Publié le : 19/06/2003 | Auteur : Francis Grimberg , Ancien attaché consultant des Hôpitaux de Paris

  • Affections mortelles et qualité de la prise en charge

    Le malade - homme tout à fait différent du bien portant parlant d'une éventuelle maladie qui pourrait l'atteindre -, voit le monde qui l'entoure s'effondrer. Il a besoin, et ceci tout médecin le sait pertinemment, de transférer sa maladie sur quelqu'un capable de la porter pour lui, avec lui.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marc Zerbib , Médecin, service d’urologie, hôpital Cochin

  • L'originalité du débat belge sur l'euthanasie

    Retour sur le débat autour de la légalisation de l'euthanasie en Belgique, avec un exposé des différentes positions et arguments politiques, sociétaux, culturels, religieux ou philosophiques

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Mylène Botbol-Baum , Professeure de philosophie et bioéthique, facultés de Médecine et des Sciences Philosophiques et Professeure à l'Unité d'éthique biomédicale UCL (Université Catholique de Louvain), Bruxelles

  • Réfléchir avec humilité et sérénité à la vie et à la mort à l'hopital

    "Les rites ne sont pas simplement ceux de l'après-mort. Ils sont encore ceux des vivants et de cette avant-mort, de ce moment toujours si unique et pourtant moment qui nous rassemble chacun d'entre nous. Comment se réapproprier ce moment toujours si proche de la détresse sans céder à l'utopie, une fin indéfiniment repoussée ou à la dépendance d'une extériorité machinale ?"

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Didier Sicard , Président d’honneur du Comité consultatif national d’éthique

  • Soins palliatifs: d'une éthique de conviction à l'apprentissage de la discussion

    "La vulnérabilité du patient rend nécessaire une interrogation éthique approfondie de nos pratiques soignantes. Ce cheminement ne sera pas facile car derrière cette question de la validité de nos pratiques, c'est évidemment nos motivations profondes et notamment notre désir de puissance sur l'autre qui se trouvent interrogés."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Donatien Mallet , Praticien hospitalier, CH de Luynes

  • Hippocrate et les principes de la déontologie

    "En entrant dans la Cité, non seulement la médecine subit le changement des mentalités, mais y participe, basant son discours sur l'observation des faits. L'étiologie des maladies, ainsi que leur traitement, vont devenir rationnels, marquant ainsi la séparation de la médecine et de la religion."

    Publié le : 19/06/2003 | Auteur : Didier Rosenfeld , Kinésithérapeute, hôpital national de Saint-Maurice, diplômé de l'Institut éthique et soins hospitaliers, Espace éthique AP/HP

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

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