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  • Réinventer l’approche éthique, une exigence politique pour 2019

    "Aux innovations qui bouleversent notre rapport au réel, le champ de nos responsabilités, nos systèmes de référence et qui accentuent les individualismes doit donc répondre une innovation éthique qui fait défaut. Il importe désormais d’inventer d’autres modes d’attention, de partages des savoirs et des expertises, de mobilisation et d’affirmation de nos choix comme de nos solidarités."

    Publié le : 07/01/2019 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Les 10 heures de l'éthique 2014

    Captation complète des "Les 10 heures de l'éthique", organisé par l'Espace éthique/Ile-de-France le 2 juin 2014 à La Bellevilloise.

    Publié le : 12/06/2014 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • "Nul homme n'est une île", ou l'impossible autonomie

    Intervention extraite des 10 heures de l'éthique, organisées le 2 juin 2014 à la Bellevilloise, Paris

    Publié le : 13/06/2014 | Auteur : Yannis Constantinidès , Professeur agrégé et docteur en philosophie

  • L'invention éthique

    "Comment peut-on prétendre, lorsque l’autre n’est plus en mesure de saisir par lui-même le meilleur pour lui-même, se substituer à lui pour prendre à sa place les décisions dont on suppose qu’il n’aurait pas manqué de les prendre s’il avait joui de toute son autonomie ?"

    Publié le : 07/07/2014 | Auteur : Jean-Pierre Clero , Professeur de philosophie à l'université de Haute-Normandie

  • Les paradoxes du savoir précoce

    La précocité est devenue un maître-mot, sinon le maître-mot, en matière de maladie d'Alzheimer. Cela est vrai à la fois au plan biologique (avec le diagnostic au stade « pauci-symptomatique ») et au plan médical (avec la notion gériatrique de « fragilité »), mais aussi au plan éthique et juridique (avec l'idée de « planification anticipée des aides et des soins » et la possibilité de désigner un « mandataire de protection future »).

    Publié le : 18/11/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • La négligence est-elle une violence ?

    L’homme moderne s’est libéré de ces liens nécessaires au sein d’une communauté comme on casse une chaîne. Ce n’est plus l’individu qui est au service du groupe mais le contraire. La collectivité s’est mise au service du bien-être individuel. Mais si l’individu moderne n’est plus lié aux autres, il lui est toujours possible de ne pas vouloir s’acquitter de sa dette.

    Publié le : 16/11/2005 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • La clinique en médecine : alliance des sens, de la raison et de l'humanisme

    "Grâce à l'examen clinique, le médecin appréhende l'homme dans le cadre élargi d'une anthropologie générale évitant les écueils réductionnistes du biologisme et du sociologisme, ou scientistes de la version moderne du positivisme. Le corps ne peut être délivré de ses maux à partir de lui seul, et il est nécessaire de dépasser le fonctionnement de la machine corporelle pour conquérir l'homme dans sa globalité et son environnement."

    Publié le : 19/06/2003 | Auteur : Francis Grimberg , Ancien attaché consultant des Hôpitaux de Paris

  • Liberté individuelle et responsabilités collectives dans la vaccination : approche éthique

    Publié le : 06/02/2012 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Hippocrate et les principes de la déontologie

    "En entrant dans la Cité, non seulement la médecine subit le changement des mentalités, mais y participe, basant son discours sur l'observation des faits. L'étiologie des maladies, ainsi que leur traitement, vont devenir rationnels, marquant ainsi la séparation de la médecine et de la religion."

    Publié le : 19/06/2003 | Auteur : Didier Rosenfeld , Kinésithérapeute, hôpital national de Saint-Maurice, diplômé de l'Institut éthique et soins hospitaliers, Espace éthique AP/HP

  • L'accompagnement comme un devoir de civilisation

    "Le corps malade est [...] un corps bavard et pluriel ; la partie se manifeste alors comme séparée des autres : elle subsiste pour elle-même, se fige, et gêne cette fluide activité de l’organisme que nous désignions plus haut comme caractéristique de la bonne santé. La maladie entrave, appauvrit la vie sociale, et que dire lorsqu’il s’agit d’une maladie transmissible ou contagieuse ? Elle assigne à la nature. Parler avec le malade, c’est l’aider à entretenir cette flamme de l’esprit que la maladie tend parfois à étouffer, c’est tenter de le rapatrier dans ses droits et devoirs de citoyen : de cela, tout le monde est capable."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

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