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  • Fin de vie : l’épreuve du sens

    "L'agonie peut avoir du sens si elle permet à celui qui meurt de terminer son chemin comme il l'entend ; elle a du sens dans ce qu'elle permet de dire qui n'a jamais pu l'être, de vivre jusqu'au bout de la vie, de penser ces instants comme les derniers : ceux qui vont permettre d'apprivoiser l'absence quand le chagrin se fera moins envahissant."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans / Luc Rivière , Responsable de l’USP et de l’EMASP, Centre hospitalier de Périgueux

  • Maladie d'Alzheimer et apparentées - Approches de la fin de vie

    Contribution de l'Espace éthique Alzheimer à la Mission présidentielle de réflexion sur la fin de vie.

    Publié le : 02/09/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Confronté à l’annonce du handicap

    "Lorsque la pathologie vient briser l'espoir de perfection que l’enfant représentait (on ne veut plus « un » enfant mais « tel » enfant), celle-ci apparaît comme une limitation insupportable. Elle vient affirmer douloureusement une différence et une dévalorisation. La culpabilité qui en naît peut générer les comportements les plus divers et contradictoires."

    Publié le : 18/11/2005 | Auteur : Joëlle Janse-Marec , Médecin

  • Humanité quotidienne du soin

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Marie Leleu , Aide-soignante, hôpital Maritime de Berck, AP-HP

  • L’homme est responsabilité

    Comment les chambres mortuaires peuvent-elles témoigner de l'impératif de responsabilité qui engage le soignant comme la société ? Comment ce lieu, associé à des représentations négatives, contibue-t-il au respect de la dignité des personnes décédées ?

    Publié le : 07/04/2009 | Auteur : Corine Pelluchon , Philosophe et professeure de philosophie, Université Gustave Eiffel

  • La relation équipe soignante-familles en fin de vie

    "Accompagner les familles confrontées à la proximité de la mort d'un de ses membres nous renvoie à la notion de communication, à la problématique du temps et à l'épreuve de l'impuissance."

    Publié le : 06/08/2003 | Auteur : Nicole Landry-Dattée , Médecin anesthésiste-réanimateur, à l’institut Gustave-Roussy de Villejuif / Christine Théodore , Médecin oncologue, Institut Gustave Roussy, Villejuif / Danielle Velardo , Cadre infirmier, Institut Gustave Roussy, Villejuif.

  • Les familles de patients en état végétatif chronique ou pauci relationnel : la position reconnue des proches, un impératif éthique

    La pathologie EVC/EPR est en quelque sorte hors du commun. Elle ne s’inscrit pas dans un schéma classique évolutif: une période de soins qui déboucherait sur une amélioration attendue. Chez ces patients, de graves lésions cérébrales peuvent être à l’origine d’un coma. Ils sont sortis de celui-ci mais les blessures de leur encéphale sont définitives. Il faut donc affronter les proches avec ce verdict implacable: «pas vraiment mort, […] mais plus vraiment en vie.» (1) Les limites entre la mort et la vie semblent abolies. Le traumatisme familial lié à l’accident entraîne un déséquilibre familial majeur, un remaniement de tous les liens.

    Publié le : 19/09/2008 | Auteur : Nicolas Gegout , Psychologue, Unité EVC/EPR,  Clinique Korian, Canal de l’Ourcq, Paris