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  • Personnes malades, proches et professionnels lancent un appel à une mobilisation politique

    À l’occasion des Journées nationales d’éthique « Alzheimer et maladies neuro-dégénératives (Toulouse les 21 et 22 novembre 2016), une nouvelle alliance s’est imposée entre les personnes malades, leurs proches, les associations, les soignants, les chercheurs pour lancer un appel en faveur d’une société, d’une médecine, d’une recherche et de soins plus attentifs à leur expérience de la maladie et mobilisés afin de leur permettre de mieux assumer les défis spécifiques d’une maladie neuro-évolutive.

    Publié le : 25/11/2016 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Informer la personne atteinte par la maladie d'Alzheimer : quelques enjeux

    L’information du malade d’Alzheimer ne peut pas se faire selon une approche dogmatique. Il faut essayer de trouver les clés d’une réflexion permettant de choisir la meilleure voie dans chaque situation rencontrée en tenant compte des réalités de terrain. Si l’horizon est celui de la vérité, le chemin à suivre peut s’en détourner lorsque la connaissance du malade et des enjeux met en évidence les dangers de l’annonce.

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Julien Berthaud , Praticien hospitalier, service de gériatrie, Hôpital de Provins

  • L’aidant maltraitant

    "Entre le laisser faire et l’intervention, au risque de détruire une relation de couple, fût elle pathologique, jusqu’où les professionnels peuvent-ils s’immiscer dans la relation ? La vulnérabilité du malade nous donne-t-elle tous les droits, tous les devoirs ? Le malade ne s’est il pas finalement « réfugié » dans la maladie pour ne plus avoir à résister à une relation maltraitante ?"

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Astrid Aubry , Médecin, Centre de moyen et long séjour Roger Duquesne, Centre hospitalier du pays d’Aix

  • Contributions et conclusions du projet ALCOVE

    Documents de réflexion et dossier de conclusion du projet européen ALCOVE, visant à une mise en commun des approches et des réflexions pour permettre une prise en charge respectueuse des personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 11/04/2012 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Étude Alzheimer et dépendances

    Une enquête pour mieux comprendre les différents type de dépendances impliquées par la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 02/09/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Enquête - Les Français et Alzheimer

    Réalisée dans le cadre de la deuxième édition de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société (2012), cette enquête vise à mieux connaître les connaissances des Français sur la maladie, ainsi que sur ses représentations et conséquences (aide d'un proche par exemple).

    Publié le : 03/09/2012 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Enquête : Les Français face à l'anticipation de la maladie d'Alzheimer

    Une enquête pour mieux comprendre la volonté de savoir dans le cadre de la maladie d'Alzheimer. Elle a été réalisée dans le cadre de l'Université d'été Alzheimer et société, vouloir savoir.

    Publié le : 29/08/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Avis Alzheimer, éthique, science et société

    Avis présenté en 2012 par l'Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 13/08/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Prévoir, compenser, retarder

    L'auteur de ce texte, écrit en 2000, dresse un panorama des connaissances et espoirs autour de la maladie d'Alzheimer, de sa connaissance et de son traitement.

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Françoise Forette , Chef de service, hôpital Broca, AP-HP

  • La démence, cause d'exclusion sociale

    "Le malade est déqualifié, il n'est plus possible de l'entendre : en train de sortir de son propre esprit, ou déjà hors de lui, le malade n'a plus droit à la parole, avant même que celle-ci ne lui manque vraiment. Il n'a plus le droit de décider ni de choisir et, que ce soit avec bienveillance (" pour son bien ") ou malveillance, il est, au mieux traité en petit enfant, au pire comme une chose, voire comme un coupable incarcéré."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

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